Je pleure tous les jours. Je suis grands-père, et j'ai deux petits enfants. Je suis inconsolable, triste, et aucune joie de vivre si des enfants et bébés sont dans des enclos comme des animaux !!
Maltraitance de jeunes enfants orchestrée par l'État de TRUMP!! Et On ne sait pas si il y a eu des abus sexuels, ou pédophilies, autres pratiques sexuels, photos des filles et garçons nus....
Autre sujet criminel de ce pays les USA habitué:
Trump ACCUSE LES AUTRES. Mais alors à chaque fois, c'est soit ses administrés, soit Obama mais qu'est ce qu'il fout à la maison blanche ce type ? goujat, impérialiste, il ne connait aucune loi de son pays, ni aucune méthode de mise en route d'un quelconque mode opératoire de gouvernance. On ne lui demande pas de nous balancer chaque fois ses "intuitions" qui n'ont rien à avoir ses fonctions actuelles. il ne réussis rien du tout, et son ancien job de vendeur de briques, bétons et ciments ne lui servent à rien, parce que il le sait, il est nul dans tout. Aucun discours dans le vécu de présidents. Des mots de gamin de 7 ans. Et il faut arrêter de lui faire des louanges. On voit bien que à chaque fois, c'est dans la maison blanche qu'il doit donner un coup de pieds, et lui foutre un coup de pieds dans le cul à lui-même, désolé, mais ce type ne mérite rien, et de cœur noir et sans âme !!
Etats-Unis : Où sont les 1475 enfants de clandestins "perdus" ? DEPUIS AVRIL-MAI 2018...
Les états unis deviennent détraqués avec Trump ! ils cherchent la guerre totale, et ils l'auront. Pour gagner, ils doivent utiliser leurs mères de bombe, et bombes atomiques afin de nous raser tous. Mais malgré leurs bombardiers, troupes au sol, et navire de combats lance fusées, ainsi que leurs sous-marins atomiques, ils auront du mal à éliminer toute l'humanité. C'est ce qu'ils font déjà avec la mise en cages des enfants en bas âges aux frontières avec le Mexique. Et ignoble, parce que on sait déjà que sur les quelque 2'400 enfants éparpillés jusqu'à 2000 km de là, ils disent déjà, le gouvernement de TRUMP, que certains ne seront jamais remis, ou retrouvés étant perdus. FAUX !! Les familles en charge d'héberger ces enfants, n'ont jamais montré patte blanche. Donc. il est sûr qu'il se soit passé n'importe quels scénarios, pédophilie, sévices sexuels, abus sexuels et autres meurtres directs pour cacher les traces. Le gouvernement TRUMP ne peut pas répondre par des suppositions ou imprécisions comme il a l'habitude de se jouer de l'humanité, et des droits de l'enfance et de l'homme. ILS ONT FRANCHI LA LIMITE. CES USA SERONT RASES DE LA CARTE DE LA TERRE. Nous nous battrons jusqu'au dernier petit effort et souffle. ILS DOIVENT RENDRE TOUT CES ENFANTS SANS QU'IL EN MANQUE 1 SEUL. ET DES INVESTIGATIONS, DU POINT DES PRISES EN CHARGE, TRANSFERTS ET CHEMINS SUIVIS JUSQUE CHEZ L'HEBERGEUR, DATES, SIGNATURES, ET PRESENCE VUE PAR LES VOISINS, DOIVENT ÊTRE MIS EN EVIDENCE, SINON, C'EST LA GUERRE, ET NOUS ALLONS FAIRE DE SORTE QUE TOUT CES PARENTS, PAYS DE MERDE, AFRIQUE, AMERIQUE LATINE, MOYEN ORIENT, ASIE, PUISSENT SE FORMER, OUBLIER LEURS PEURS, ET ALLEZ AU COMBAT. TRUMP, iLS CHECHENT UN CONFLIT 10 FOIS PLUS GRAND QUE AVEC LES TALIBANS, TERRORISTES, AL QUAIDA, BOKO ARAM, ETC.…SA MANIERE DE DIRIGER BASEE SUR SON ANCIEN METIER DE VENDEUR DE BRIQUE, BETON ET CIMENT NE LUI SERVENT PAS. IL VA S'ENFONCER, ET SERA DANS UNE SITUATION INCROYABLE DANS UN PROCHE AVENIR ! ONT EST PRET, QU'ILS VIENNENT LES TRUMP, c'est lui même qui n'arrete pas de vanter la puissance de son armée ;-(( ! Qu'ils ramassent déjà toutes leures artilleries qui n'ont jamais servies, des bases militaires impressionnantes, dans le monde entiers, et leurs centaines de milliers de militaires, aviation du diable, maritime, QUI LES RUINE, A HAUTEUR DE 1'000 milliards de dollards par année !
Une fillette appelle « papa » pendant qu’un autre enfant demande s’il peut rejoindre sa tante. « Est-ce que vous allez appeler ma tante pour qu’elle vienne me chercher ? Et après, ma maman pourra venir très vite ? ». Ils demande aussi en dernière tentative, que vienne même leur grand père (Abuelo)… Sa phrase s’achève par des sanglots Des milliers de manifestants aux États-Unis contre la politique migratoire de Trump. De nombreuses manifestations sont prévues samedi tandis que les autorités fédérales ont désormais pour ordre de ramener les enfants auprès de leurs parents.
QUELLE TRISTESSE !, IL REGARDE LE SOL, PARCE QUE IL NE VEUT PAS VOIR LES VISAGES DES POLICIERS QUI L'ONT SEPARE DE SES PARENTS. CET ENFANTS VIS UN MOMENT INFERNAL. POUR LUI C'EST UN FREIN SORDIDE DE TRUMP A SA VIE D'ENFANT, IL N'A PLUS DE JOIE, NI DE SENTIMENT DE'AVENIR DU LENDEMAIN MATIN AUPRES DE SA MERE. ILS SONT TRAITES COMME A L'EPOQUE DES NAZIS SELON TRUMP. C'EST IGNOBLE, ET ENFREINDS DES CENTAINES DE LOIS ET RESPECTS DE L'ENFANCE TRUMP EN DIABLE IMMORTEL. ILS ONT TOUS DES DROITS EGAUX, ET SEPARER DES ENFANTS DANS UN CLIMAT DE NON AGRESSION GUERRIERS, EN TEMPS DE PAIX, COMME LE FAIT TRUMP, ET UN ACTE DE GUERRE, ET SANS AUCUNE BASE LEGALE !!! UN IMPERIALISME PAR TRUMP, DANGEREUX QUI NOUS MENE DROIT VERS UNE GUERRE TOTALE !
Cette mesure est si nauséabonde qu’elle finira certainement par se retourner contre son camp.
Une fillette hondurienne de deux ans pleure alors que sa mère est fouillée et détenue près de la frontière entre les États-Unis et le Mexique le 12 juin 2018 à McAllen, au Texas. | John Moore / Getty Images North America / AFP
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Stephen Miller a toujours adoré susciter l’indignation de ses pairs. Avant d’être nommé conseiller à la Maison-Blanche, il était un adolescent provocateur qui passait le plus clair de son temps à «troller» ses adversaires idéologiques. Il a importé cet ethos dans l’administration Trump: on l’a vu savourer le tollé provoqué par l’interdiction de voyage visant les personnes musulmanes, et lutter contre l’Action différée pour les arrivées d’enfants (DACA) sans se soucier des coûts humains engendrés par les mesures qu’il préconise.
Stephen Miller –et la Maison-Blanche– ont oublié un détail d’importance: le trolling amoral n’est pas une bonne tactique politique. L’indignation soulevée par ses mesures ne s’est pas dissipée comme s’était dissipée la colère provoquée par ses chroniques lycéennes: l’affaire est au contraire devenue un moteur de premier plan pour l’action et l’opposition anti-Trump. L’interdiction de voyage avait déjà provoqué une levée de boucliers prenant la forme de manifestations massives et d’actions en justice concertées. L’affaire a contribué à cristalliser l’opposition, et a porté un important coup politique à l’administration. Si Trump avait profité d’un quelconque «état de grâce», il était désormais bel et bien révolu.
En déclenchant une nouvelle crise politique autour du DACA, Miller a divisé les conservateurs du Congrès –quelques Républicains modérés pourraient y perdre leur siège en novembre prochain. La nouvelle politique «tolérance zéro» inventée par Miller permet aux agents de l’immigration de séparer les enfants de leurs parents et de traiter les demandeurs d’asile en criminels. Cela lui vaudra peut-être les applaudissements de certains commentateurs –mais cette mesure est si nauséabonde qu’elle finira certainement par se retourner contre son camp. À LIRE AUSSILes États-Unis séparent désormais les parents migrants de leurs enfants
«Maltraitance de jeunes enfants orchestrée par l'État»
Cette politique est provocatrice par essence: son but premier est de plonger l’opposition dans un abîme de colère et d’indignation. Sur ce point, la réussite est totale. La mesure a déclenché des manifestations dans tout le pays et a été condamnée par des associations de la société civile et plusieurs personnalités religieuses –y compris Franklin Graham, important partisan de Donald Trump. «Il est affreux et scandaleux de voir des familles séparées brutalement; je ne soutiens absolument pas cette politique», a-t-il ainsi déclaré.
Les images de la frontière –de jeunes enfants enfermés dans des enclos, des parents paniqués à l’idée de ne plus revoir leurs fils et leurs filles– n'ont fait qu'exacerber cette opposition. Le témoignage d’un ex-employé de refuge parle d’«installations de type carcéral» et fait état «d’enfants qui fuyaient, criaient, jetaient des meubles et tentaient de se suicider». L’Associated Press décrit quant à elle un «vieil entrepôt» où des centaines d'enfants attendent dans des «cages». Ces histoires soulignent l’insoutenable cruauté de ce projet, moins motivé par les exigences de la loi (la décision d'accuser tous les migrants d'«entrée illégale» et de les soumettre à un processus pénal est discrétionnaire) que par le but avoué du président Trump de réduire l'immigration provenant des «pays de merde».
Les Démocrates sont passés à l’attaque: ils ont mené une charge politique contre l'administration en mettant en exergue les conditions de détention des enfants migrants à travers le pays. «Voilà ce que fait cette administration, voilà le mortier qui lui sert à construire son mur: le chagrin, les larmes, la douleur de ces enfants. Ils imaginent que cette mesure leur permettra de nous extorquer un texte de loi à leur goût au Congrès», a dénoncé l’élu démocrate Adam Schiff dans l’émission Meet the Press (NBC). L'ancien maire de San Antonio, Julian Castro, ancien secrétaire au logement et au développement urbain sous le président Obama, s’est joint à des manifestants devant un centre de traitement de la Border Patrol à MacAllen (Texas) pour condamner les séparations de familles. «C’est en réalité de la maltraitance de jeunes enfants orchestrée par l'État: on les traumatise en les arrachant à leurs parents, sans leur dire quand ils les reverront, en les détenant dans des conditions que nous ne réserverions jamais à nos propres enfants», a-t-il affirmé.
Les premiers sondages montrent que l’opinion publique ne soutient pas la politique draconienne de l'administration. Un récent sondage d'Ipsos et du Daily Beast a demandé aux participants s’il était «approprié de séparer les parents immigrants sans-papiers de leurs enfants lorsqu'ils traversent la frontière, dans le but de dissuader les autres migrants potentiels»: seuls 27% des Américains et Américaines ont répondu par l’affirmative, contre 56% contre. De la même manière, selon un nouveau sondage de l'Université Quinnipiac, seuls 27% des citoyens et citoyennes approuvent cette politique, contre 67% d’avis défavorables. Et tandis que la majorité des Républicains l’approuvent –46% et 55% d’avis favorables selon ces enquêtes respectives–, ces chiffres restent faibles pour une politique soutenue par le président républicain, et ils pourraient chuter au fur et à mesure que la couverture médiatique et les critiques s'intensifient.
Petits enfants et «stress toxique»: nous pouvons résoudre ce problème Par Priscilla Chan et Meredith Liu
Mis à jour à 1221 GMT (2021 HKT) le 4 octobre 2017
USA-des-migrants_mineurs-et-bebes_separes-de-leur-famille_TRUMP-Gov_sont-en-cages-pire-que-LES_NAZIS
Donald Trump l’avait promis, il sera intransigeant sur l’immigration illégale. Son ministre de la Justice applique une politique de “tolérance zéro”, même si cela implique de séparer des familles. Conséquence, en 6 semaines, près de deux milles mineurs ont été séparés de leurs parents à la frontière.
Washington (AFP) - Des centaines de manifestations, petites ou grandes, ont mobilisé des milliers de personnes samedi à travers les Etats-Unis contre la politique migratoire de Donald Trump et pour réclamer le regroupement immédiat des enfants et de leurs parents clandestins appréhendés à la frontière mexicaine, qui tarde à se réaliser.
L'un des grands rassemblements a eu lieu dans le parc jouxtant la Maison Blanche à Washington, avec des milliers de personnes de tous âges, dans une atmosphère oscillant entre indignation et tristesse, par 33 degrés. Ils ont ensuite défilé, passant notamment devant l'hôtel Trump.
New York, Boston, Chicago, Portland et Los Angeles ont aussi vu des foules de manifestants, avec la participation d'artistes comme Alicia Keys et Lin-Manuel Miranda à Washington, ou John Legend à Los Angeles, ainsi que des élus démocrates.
Dans la capitale américaine, l'enregistrement d'un enfant de migrants pleurant à la recherche de ses parents a été diffusé sur des hauts-parleurs.
Jocelyn, une mère brésilienne, séparée de son fils pendant neuf mois, a témoigné de son calvaire au micro: "On lui a dit qu'il finirait peut-être par être adopté", a-t-elle raconté à la foule, déclenchant un cri collectif spontané: "Honte! Honte!"
"C'est du racisme à peine voilé", dit Dorothy Carney, une professeure de français venue de Charlottesville, en Virginie. "Le mal l'emportera si les gens bien ne font rien. Au moins, on fait quelque chose", relève-t-elle.
"Je suis en colère, triste, écoeurée", dit Rita Montoya, avocate de Washington originaire du Mexique, venue comme beaucoup d'autres avec ses jeunes enfants. "Nous sommes des enfants d'immigrés, nous contribuons à ce pays depuis suffisamment longtemps, il faut que ce pays commence à nous montrer un peu de respect".
"Les familles doivent rester ensemble" est le slogan de cette journée, alors que les autorités fédérales américaines ont désormais pour ordre de ramener les enfants auprès de leurs parents, une tâche qui s'éternise.
Mêmes scènes à New York, où l'on voyait aussi des slogans tels que "Abolissez l'ICE", la police de l'immigration, une cause auparavant marginale mais qui est en train de gagner en popularité au sein de la gauche américaine.
Sur une pancarte, Courtney Malloy, avocate new-yorkaise de 34 ans, a écrit que "le seul bébé qui mérite d'être en cage est Donald Trump". "C'est vraiment très important pour nous de montrer au monde, et en particulier aux immigrés, que nous sommes de leur côté. Ceci n'est pas l'Amérique", dit-elle.
"C'est tellement cruel de séparer les enfants", renchérit Julia Lam, 58 ans, immigrée de Hong Kong dans les années 1980. "Je ne sais pas s'il se rend compte de ce qu'il a fait aux enfants".
Une cinquantaine de manifestants ont aussi protesté à Ciudad Juarez, côté mexicain de la frontière, et la circulation a été interrompue un moment au poste-frontière d'El Paso (Etats-Unis).
Le président, qui passe le week-end dans son golf de Bedminster près de New York, leur a répondu à distance: "Nos lois sont les plus bêtes du monde", a-t-il tweeté, en allusion aux lois qui empêchent de renvoyer immédiatement les clandestins passant la frontière, afin d'entendre leur éventuelle demande d'asile par exemple. "Les démocrates veulent des frontières ouvertes et sont faibles contre la délinquance!"
- Abolir l'ICE -
Le président américain a annulé le 20 juin sa politique --censée être dissuasive-- de séparation des familles de clandestins, mais environ 2.000 enfants sur plus de 2.300 attendaient toujours vendredi de retrouver leurs parents. Les mineurs sont pris en charge dans des foyers répartis dans tout le pays, parfois à des milliers de kilomètres du centre de détention où sont retenus leurs parents.
Un juge fédéral de San Diego (Californie) a donné trente jours aux autorités fédérales pour ces regroupements, et deux semaines quand les enfants ont moins de cinq ans.
C'est la lenteur de ce processus et l'annonce du gouvernement Trump que les familles entières seraient dorénavant placées en détention, sans exception pour la présence d'enfants, qui provoquent la colère de la gauche et le malaise d'une partie des républicains.
Plusieurs élus démocrates de haut rang souscrivent depuis quelques jours à la revendication de la suppression de l'ICE, dont le maire de New York Bill de Blasio et la sénatrice de New York Kirsten Gillibrand, candidate potentielle à l'élection présidentielle de 2020.
Créée en 2003, moins de deux ans après les attentats du 11 septembre 2001, l'ICE incarne la politique de "tolérance zéro" de l'administration Trump, ses agents ayant pour tâche principale d'interpeller les personnes en situation irrégulière, en vue de leur expulsion.
"A tous les hommes et femmes courageux de l'ICE: ne vous inquiétez pas, gardez le moral. Vous faites du travail fantastique pour nous protéger en éradiquant les pires éléments criminels", a-t-il tweeté.
Emma Gonzalez, la lycéenne de 18 ans qui incarne le combat contre Trump et les armes à feu, ainsi que des nombreux autres démontrent qu'ils ne sont pas des générations laxistes, peureuses de tout groupuscules qui intimides les américains dans tous les domaines...!!!
Plusieurs centaines de milliers de jeunes américains ont défilé ce samedi à Washington et dans 800 villes pour demander un renforcement du contrôle des armes à feu dans le pays.
Un demi-million de personnes étaient attendues pour dire "Stop". Exaspérées par la répétition des fusillades dans leurs écoles, des centaines de milliers d'Américains sont descendues samedi dans la rue pour une manifestation historique contre les armes à feu.
L'ancien chef de la CIA compare la politique d’immigration américaine à celle de l’Allemagne nazie
Enfants séparés de leurs parents migrants : cette Amérique qui dit non
Chez les politiques, l’indignation des démocrates, et de certains républicains
C’est naturellement du côté des personnalités politiques américaines que la mobilisation est la plus forte. Les démocrates en premier lieu bien sûr, puisqu’ils sont dans le camp opposé à Donald Trump. La patronne de la minorité démocrate de la Chambre des représentants Nancy Pelosi a ainsi exigé, dans un tweet reposté 36.000 fois, la démission de Kristjen Nielsen, ministre américaine à la Sécurité intérieure en première ligne dans cette affaire. "Elle permet à Trump de garder impitoyablement des enfants vulnérables en otages, de les utiliser en monnaie d'échange. C'est plus que moralement condamnable", a écrit Nancy Pelosi.
ÉTATS-UNIS - 01.10.2017. Un homme a tiré à l'arme automatique à de multiples reprises dimanche en fin de soirée, heure locale, sur des spectateurs qui assistaient à un concert qui avait lieu près du Mandalay Bay Resort and Casino. Il y a plus de 50 morts et 406 personnes ont été transportées à l'hôpital. Le suspect s'est tué avant l'arrivée de la police, tandis que sa compagne, un temps recherchée, a été arrêtée.blessés.PAGE DU SITE
Le TRUMP et politiques de vagabondage, de monarque mondial, essaiste, amateur, et d'incompétence de son gouvernement des "milliardaires dirigeants" 2017
Les symptômes Psycho-Cérébraux De COLT.Les suites des tueries barbares des colons Européens sur les génocides les plus cachés des Amérindiens, à nos jours, commises par les Américains. De nos jours, ce pays, depuis 6 siècles,
devenu le plus riche du Monde, et des FORTUNES INESTIMABLES, NE TIENT QU'A SES RICHES ET AUTRES CLASSES DE LA POPULATION HOSTILE A INSTAURER UNE ASSURANCE MALADIE,
A DES DESCENDANTS DES PETITS PEUPLES QUI TOUS ONT EU DES PARENTS QUI ONT LUTTE EN VERSANT LEUR SANG POUR CETTE PATRIE DE TRUMP, SUR FONDS DE XENOPHOBIE, ET DE LA SUPPREMACIE D'UNE CLASSE SUPERIEURE !