environnementnormeapercu
In an effort to elevate sustainability
reporting to levels long-expected of financial reporting, the Global
Reporting Initiative has posted the Sustainability Reporting Guidelines
(link to
www.globalreporting.org) on their website. Les directives reflètent
les contributions de nombreux dépositaires de partout dans le monde, y
compris des compagnies, des organismes de comptabilité, des
investisseurs, et des groupes environnementaux et sociaux de
recommandation.
Télécharger le guide Sustainability Reporting Guidelines. En plusieurs
langues. 02/06/2005 |
L'ENVIRONNEMENT
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LA
PROTECTION
DE L'ENVIRONNEMENT
DANS L'ENTREPRISE
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La protection de l'environnement est désormais encadrée
par une réglementation.
Polluer est devenu une infraction ou un délit.
L' entreprise s'organise pour réduire toute nuisance et
prévenir toute pollution.
Par l'information et la formation interne, on permet de
sensibiliser le personnel à des actions individuelles
simples favorisant l'amélioration et le respect de
l'environnement, par exemple :
l'économie
d'eau,
le tri
des déchets,
éviter
les rejets à l'égout.
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L'ENVIRONNEMENT
:
LES ENJEUX
POUR L'ENTREPRISE
La protection de l'environnement est une préoccupation importante.
Face à une pollution accidentelle ou chronique, les entreprises sont de plus en
plus observées et épiées. L'administration, la justice et les assureurs
exercent une pression directe sur l'entreprise par leurs contrôles et leurs
sanctions.
Les associations écologiques, la population et les élus relayés par les médias
réagissent de plus en plus activement.
L'entreprise et ses dirigeants se doivent de mesurer les enjeux pour l'image de
marque et leur responsabilité.
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LA
NORME ISO 14001 :
SON CONTENU,
SA MISE EN ŒUVRE
Face aux enjeux, l'entreprise doit manager la préservation de
l'environnement.
La norme ISO 14001 permet de mettre en place une organisation appelée
"système de management environnemental" (S.M.E.).
Elle insiste sur la sensibilisation, facteur d'intérêt pour la démarche et
les objectifs à atteindre.
Elle insiste aussi sur la formation du personnel, facteur de compréhension du
fonctionnement du S.M.E.
Le respect des consignes, des modes opératoires et des procédures dépend
complètement de l'adhésion de tous les acteurs.
AUDITEURS
INTERNES
DU S.M.E.
Votre entreprise est en train de mettre en place son S.M.E. Afin de répondre
à l'exigence de la norme, vous devez réaliser des audits internes.
Il est proposé par des organismes externes de former votre équipe d'auditeurs
à la pratique de l'audit. Cette formation est constituée d'une partie théorique
et d'une partie pratique d'audit sur le terrain.
Les auditeurs internes ont pour but de vérifier la conformité de votre S.M.E.
par rapport à la norme. Mais c'est aussi l'occasion de communiquer et de
sensibiliser. C'est surtout l'instrument de progrès de votre système en
cohérence
avec le principe d'amélioration continue. --->>exemple
sur production des sacs en plastique ordinaire par l'utilisation des composants non polluants.
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Les familles ISO 9000 et ISO
14000 comptent parmi les normes de l'ISO qui sont les plus connues et ont
rencontré le plus vif succès. L'ISO 9000 est devenue une référence
internationale pour les exigences qualités dans les relations interentreprises
et l'ISO 14000 devrait réussir aussi bien, sinon mieux, en aidant les
entreprises à relever leurs défis en matière d'environnement.
Les normes ISO sont, dans leur grande majorité, spécifiques
à un produit, matériau ou processus. Toutefois, les normes qui ont donné aux
familles ISO 9000 et ISO 14000 leur réputation mondiale sont des «normes génériques
de système de management». Le terme «générique» signifie que les mêmes
normes peuvent être appliquées à tout organisme, grand ou petit, quel que
soit son produit, y compris s'il s'agit d'un service, dans tout secteur
d'activité, et que l'organisme soit une entreprise commerciale, une
administration publique ou un département gouvernemental. Le terme «système
de management» se rapporte à ce que l'organisme fait pour gérer ses processus
ou activités. Le terme «générique» signifie aussi que si l'organisme, indépendamment
que ce qu'il est ou fait, souhaite établir un système de management de la
qualité ou un système de management environnemental, il doit alors y inclure
un certain nombre de caractéristiques essentielles qui sont explicitées dans
les normes pertinentes des familles ISO 9000 ou ISO 14000.
L'ISO 9000 traite du «management de la qualité», ce
terme recouvrant tout ce que l'organisme réalise pour améliorer la
satisfaction des clients en répondant à leurs exigences et aux exigences réglementaires
applicables et en améliorant à cet égard continuellement ses performances. L'ISO
14000 traite au premier chef du «management environnemental», c'est-à-dire de
ce que réalise l'organisme pour réduire au minimum les effets dommageables de
ses activités sur l'environnement et pour améliorer en permanence sa
performance environnementale.
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Voir aussi la section
ISO Lien utile : http://www.umwelt-schweiz.ch/buwal/fr/
Office fédéral de l'environnement, des forêts et du paysage
Suisse Pour
les jeunes : http://www.woodworld.ch/
Etude ISO 14000 impact sur
l'entreprise. doc. PDF
Description: Cette étude présente l'impact qu'ont les
SME (Systèmes de Management Environnementaux) sur les entreprises, notamment
sur leur politique et leur vie sociale et leur fonctionnement. Cette étude est
intéressante, car les systèmes de management de la qualité et de
l'environnement sont de plus en plus unifiés.
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Responsabilité
sociale. Un programme onusien incite les entreprises à respecter les
droits du travail et les normes environnementales. Des ONG dénoncent un
appareil à «blanchir les multinationales»
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Le
Seco invite les PME suisses à se joindre au Pacte mondial des
Nations unies
Ram
Etwareea
Mercredi 30 octobre 2002
Lancé
en 1999 à Davos, le Pacte mondial de l'ONU, une sorte de manifeste
appelant les entreprises à respecter les principes de développement
durable, n'a pas attiré un grand nombre d'adhérents en Suisse. Ils
sont seulement cinq: Nestlé, ABB, Credit Suisse, Novartis et Serono.
C'est pourquoi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco), en
collaboration avec la Cnuced, a organisé mardi une journée
d'informations à Genève à l'intention de petites et moyennes
entreprises suisses, les invitant à se joindre au mouvement onusien. «Les
PME représentent 99% de notre économie et au moins 30 000 d'entre
elles sont actives sur le marché étranger, a expliqué Ueli Forster,
président d'economiesuisse aux quelque 400 participants. Adhérer au
Pacte mondial et adopter les principes de développement durable est
dans leur intérêt.» «Les entreprises restant en dehors seront pénalisées»,
a averti le secrétaire d'Etat à l'économie David Syz. Pour
l'occasion, les organisateurs avaient mobilisé quelques chefs de
grandes entreprises pour témoigner de leur expérience au sein du Pacte
mondial. C'est dans ce contexte que Peter Brabeck-Letmathe, CEO de Nestlé,
a décrit l'engagement de son groupe à travers le monde. «Les gens
oublient que les multinationales sont dirigées par des humains appelés
à assumer leur responsabilité sociale», a-t-il plaidé tout en
faisant remarquer que le groupe fait vivre directement ou indirectement
un million de personnes dans le monde. Robin Cornelius, patron de
Switcher, a juré que son entreprise respecte avec bonheur les droits du
travail et l'environnement à tous les niveaux de la production et de la
distribution. «Il s'agit d'une philosophie inhérente à la société»,
a-t-il démontré par le biais d'un petit film tourné en Inde.
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Egalement
présent, Georg Kell, directeur exécutif du Pacte, a salué l'initiative suisse
et a fait remarquer que 700 entreprises font désormais partie du mouvement,
dont la moitié venant des pays pauvres dont la Chine, l'Inde, le Brésil et le
Nigeria. Selon lui, le Pacte est aussi un instrument de développement. Ces
derniers ont besoin d'investissements étrangers directs et de commerce
international. Il a par ailleurs appelé les entreprises à s'impliquer dans les
pays les moins avancés, dans les pays en conflit ainsi que dans la lutte contre
la corruption.
Le Pacte ne fait toutefois pas l'unanimité, notamment chez des organisations
non gouvernementales (ONG) qui accusent le système onusien de vouloir «blanchir
des entreprises qui sont présentes dans les Etats où les droits de l'homme
sont violés, qui ne respectent pas les droits du travail ou encore qui font fi
de l'environnement». Pour Lara Cataldi, de la Déclaration de Berne, groupe de
pression suisse, le Pacte offre une belle plateforme de propagande. «Il suffit
à une entreprise, qui de manière générale ne respecte ni l'esprit ni les
dispositions de base, de faire un projet en ligne avec le Pacte pour figurer en
bonne place sur le site Internet de l'ONU», dénonce-t-elle. En lien avec cette
accusation, Corpwatch.org publie régulièrement les noms des entreprises
membres du Pacte mais qui ne respectent pas ses principes.
Les ONG dénoncent aussi l'abus du logo du mouvement onusien par les adhérents.
Goerg Kell assure que le droit d'utilisation est strictement contrôlé et
qu'aucune entreprise n'y a accès. Ce qui n'a pourtant pas empêché
DaimlerChrysler d'utiliser un logo onusien légèrement remanié (voir
l'illustration). Le plus gros problème, disent les ONG, c'est l'absence de tout
contrôle des activités des entreprises faisant partie du Pacte mondial. «Le
système n'est pas fait pour être contrôlé», ont dit en chœur David Syz et
Georg Kell. «Nous encourageons nos membres à rendre public le bilan de leurs
activités sociales», dit ce dernier. Pour le secrétaire d'Etat à l'économie,
les organisations faîtières comme economiesuisse pourraient mettre en place
une certaine surveillance.
Source Tps
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Qualité
de l’eau : contrer la migration des matériaux |
20/07/2003 |
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Les matériaux
utilisés dans les installations de production, de traitement et de
distribution d’eau destinée à la consommation humaine peuvent dégrader,
de manière significative, la qualité de l’eau livrée aux
consommateurs.
Cette influence peut prendre des proportions importantes lorsque se développent
des phénomènes de corrosion (canalisations métalliques et bétons) ou
de dégradation (matériaux organiques).
Depuis 1999, la France a mis en place un système d’attestation de
conformité sanitaire (ACS) permettant de vérifier l’innocuité des
matériaux au contact des eaux destinées à la consommation humaine.
Dans ce cadre, la commission "Effet des matériaux en contact avec
l’eau potable" a engagé la rédaction de protocoles d’essais.
Les deux derniers viennent de paraître.
- La norme XP
P 41-250-3 définit le protocole d’essai destiné à évaluer
l’effet cytotoxique des matériaux organiques sur la qualité des eaux.
- La norme XP
P 41-260-3 définit une méthode d’essai permettant l’évaluation
en laboratoire de l’effet cytotoxique éventuel des matériaux à base
de ciment sur les eaux à leur contact.
Elles complètent les deux premières parties de la norme XP
P 41-250 (matériaux organiques) publiées en 2001, de même que les
deux premières parties de la norme XP
P 41-260 (matériaux à base de ciment), et la norme XP
P 41-270 sur la vérification de l’inertie des matériaux
constitutifs des modules de filtration.
Source : Enjeux n°236
Actu et News
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les contributions de nombreux dépositaires de partout dans le monde, y
compris des compagnies, des organismes de comptabilité, des
investisseurs, et des groupes environnementaux et sociaux de
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15.05.2009 15:55:30
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