Antique !!
Ellwell-Parker
"Tiering Tructor".
Les chariots élévateurs ont parcourus
un long chemin puisque d'abord étant présenté dans la partie précédente
du 20ème siècle comme peut être vu dans cette photo lors d'un forum
Ellwell-Parker " Tiering Tructor ". Leur but initial, le
mouvement efficace des matériaux, toutefois n'a pas changé.
Puisqu'il y a tellement des nombreuses possibilités de configurations
ainsi que des chariots de spécialisés
non énumérés, que l'on suggère d'obtenir des constructeurs des
informations supplémentaires. |
logistique
n. f. Branche de l'art militaire qui étudie les mouvements et les ravitaillements.
Elle inclut le traitement sanitaire des personnels et la réparation des matériels. Longtemps négligée, la logistique a pris dans la guerre moderne une place égale à celles de la tactique et de la stratégie.
À une époque où les armées n'étaient encore que des bandes plus ou moins irrégulières et où le colonel, " propriétaire " de son régiment, devrait en assurer l'entretien, la notion de logistique était très peu perçue par les chefs de guerre ou d'État. Le mot " logistique " apparaît en France au XVIIIe siècle, mais dans une acception proche de la stratégie. Régi, de l'Ancien Régime au premier Empire, par des inspecteurs aux revues, des commissaires aux armées, des " munitionnaires ", des ordonnateurs, voire des préfets ou des commandants de corps d'armée, l'approvisionnement en armes, munitions, vivres, chevaux, uniformes et chaussures restait terriblement aléatoire. Dans tous les pays, les milieux militaires, préoccupés uniquement de stratégie ou de tactique, négligeaient systématiquement les problèmes de soutien.
C'est pour remédier à cet état d'esprit que sont créés, en 1800, le train d'artillerie et les inspecteurs aux revues, que Louis XVIII transformera en intendants militaires (1817), et, en 1807, le train des équipages militaires. |
|
Le but de la conservation des denrées alimentaires est d'en permettre l'utilisation à des époques et en des lieux qui ne sont pas ceux de la production, et d'en faciliter le transport. L'histoire enseigne que les groupes ayant eu les meilleures chances de survie surent l'art empirique de conserver les aliments par le froid dans la neige ou la glace, par dessiccation et fumage, par salage et saumurage, par macération dans l'alcool, le vinaigre, l'huile, la graisse, par cuisson dans le sucre, par fermentation.
L'altération des aliments
La maîtrise de la conservation passe par la compréhension des facteurs et des mécanismes d'altération des aliments. La biodégradation est causée par trois sortes de micro-organismes – bactéries, levures et moisissures - qui se développent au détriment des aliments, les rendant impropres le plus souvent à la consommation par rancissement, putréfaction, toxicité.
Hachette Livre
Et
dans les définitions de machine de transport, on retrouve les
engins qui sont comme :
Machine à mouvement continu ou alternatif permettant de déplacer des matériaux, des objets et, plus rarement, des personnes d'un lieu à un autre.
entrepôt n. masc.
1. Bâtiment, lieu où l'on stocke, où l'on conserve des marchandises en attendant la vente, l'expédition ou l'acquittement des droits de douane. Entrepôt frigorifique. Entrepôt de douane, lieu où sont déposées les marchandises à leur arrivée dans un pays, avant d'être soumises aux formalités douanières : il est réel s'il appartient à l'Administration ; il est fictif s'il appartient à des particuliers, et est placé sous surveillance de la douane.
2. Par ext. Lieu (ville, port ) où des marchandises sont temporairement déposées.
entreposer v. trans. Placer (des marchandises ) dans un entrepôt ; par ext., placer momentanément quelque chose dans un lieu en attendant de pouvoir s'en servir. Entreposer des meubles dans un grenier.
entreposage n. masc. Action d'entreposer.
entreposeur n. masc. Celui qui a la garde d'un entrepôt.
entrepositaire n. et adj. Personne qui place ou reçoit des marchandises dans un entrepôt.
stock n. masc.
stocker v. trans.
stockage n. masc.
stockiste n. masc.
stock n. masc. (mot angl. «souche ».).
1. Quantité d'une marchandise disponible, en réserve ou en vente, dans un commerce, une entreprise, sur un marché. Le stock d'un grand magasin. Être en rupture de stock.
2.
• n. plur. Ensemble des marchandises, des matières premières, des fournitures, des produits finis, des produits semi-ouvrés, des déchets, des travaux en cours, etc., dont l'entreprise est propriétaire. Ils sont évalués au prix de revient. La réévaluation des stocks au cours d'un exercice entraîne une plus-value constituant un bénéfice imposable au titre de l'impôt sur le revenu ou sur les sociétés.
3. FIN. Fonds concrétisé en numéraire. Le stock d'un trésor bancaire.
4. Fam. Quantité de choses qu'on a à disposition en suffisance, en abondance. Un stock de bois de chauffage.
Fig. Reconstituer son stock d'énergie vitale.
5. GÉOL. Corps de roches plutoniques couvrant une surface de moins de 80 000 m 2, à bords raides et discordants sur les assises encaissantes.
stocker v. trans. Mettre en stock ; constituer des stocks (avec ). Stocker des produits de consommation. Stocker le blé en silos.
stockage n. masc. Action de stocker. Stockage statique, dans lequel les marchandises restent immobiles dans un dispositif de stockage lui -même fixe. Stockage dynamique, pourvu d'un système transporteur des objets stockés.
stockiste n. masc.
1. Personne ou société ayant en dépôt le stock d'un fabricant.
2. Agent qui détient en dépôt les pièces détachées d'un constructeur de machines.
Le mot magasin (de l'arabe makhazin, lieu où l'on entrepose des richesses ) désigne des lieux couverts où l'on stocke des matériaux, du matériel et des produits d'une certaine valeur (par opposition, le mot parc s'applique aux lieux de stockage à l'air libre ), des lieux de vente où des marchandises sont entreposées avant d'être écoulées, ou des conteneurs d'un appareil (magasin d'une arme à feu, magasin d'un appareil photographique ).
Dans l'industrie, on appelle magasin un local fermé dans lequel on stocke des matières premières, des outillages ou des produits manufacturés, avant de les utiliser ou de les consommer. La gestion des magasins est un problème important pour les entreprises actuelles. Un niveau élevé de stock en magasin augmente le coût de possession des marchandises, du fait des charges d'amortissement du magasin, des frais d'exploitation et de personnel, de la dépréciation des marchandises emmagasinées et des frais financiers (coût annuel : entre 25 et 35 % de la valeur du produit stocké ).
Un faible niveau de stock en magasin présente, en revanche, le risque de ne pas pouvoir approvisionner, en temps utile, les ateliers de fabrication ou les clients. Un magasin doit être parfaitement organisé sur le plan de la manutention des marchandises et de leur stockage. Des allées de circulation pour chariots-élévateurs sont généralement aménagées entre les rayons de stockage, et les marchandises sont repérées en nature et en quantités. Un fichier sert à comptabiliser les entrées, les sorties et les quantités stockées en magasin. Il comporte, pour chaque marchandise, son adresse dans le magasin.
Dans le commerce, on appelle magasin tout endroit couvert dans lequel des marchandises sont offertes directement ou indirectement aux consommateurs par un organisme de distribution. Si la vente s'effectue en libre-service et si la surface de vente du magasin est importante, ce dernier est alors appelé supermarché ou hypermarché. Si la dimension du magasin est restreinte et si celui -ci est intégré dans un centre commercial, on utilise plus couramment l'appellation de boutique ou de commerce. Dans de tels centres, les boutiques et les commerces sont disposés le long d'une promenade, aux extrémités duquel sont généralement implantés des grands magasins ou des hypermarchés.
Dans certains magasins, la vente s'effectue par correspondance ; dans ce cas, le public n'a pas accès au magasin, qui n'est en fait qu'un lieu de stockage avant expédition ; les commandes sont passées par correspondance ou par téléphone, au vu d'un catalogue. Les grandes entreprises commerciales qui exploitent des magasins sont les grands magasins, les magasins populaires, les coopératives de consommation, les magasins à succursales multiples et les associations de commerçants indépendants. Du fait de l'urbanisation et de l'augmentation du coût de la vie, les petits magasins traditionnels qui offrent des produits de grande consommation tendent à disparaître. Frappés par de lourdes charges et ne pouvant supporter la concurrence des grandes entreprises commerciales, les petits commerçants se sont constitués en groupements d'intérêt économique (GIE ) qui peuvent financer des constructions équipées de moyens modernes et effectuer, en commun, leurs approvisionnements.
Un magasin comprend des réserves dans lesquelles sont approvisionnés et stockés les produits alimentaires et les marchandises générales. Les produits périssables sont mis en chambres froides ; les autres marchandises sont stockées dans des racks, à l'aide de transpalettes ou de gerbeurs. Les produits alimentaires sont préparés, pesés et conditionnés dans des ateliers (boucherie, traiteur, fruits et légumes ). Ils sont ensuite acheminés vers les surfaces de vente. L'ambiance, l'éclairage et le décor ont une grande importance dans la motivation des achats
Le
commerce au coeur de la révolution logistique
Il ne peut exister d'activité économique, a fortiori
dans l'univers du commerce, sans une véritable filière logistique.
La distribution représente environ 15 % des débouchés, dont près
de 80 % passent désormais en plate-forme, de la filière
transport/logistique.
Les évolutions rapides et massives de
l'ensemble des systèmes logistiques ont-elles une incidence sur
l'organisation managériale d'une entreprise du commerce? À
l'inverse, l'organisation logistique d'une telle entreprise détermine-t-elle
le type de management?
Pour chaque entreprise, son lieu
d'implantation, ses modes d'organisation, ses choix commerciaux
induisent une fonction logistique différente avec des missions et une
morphologie à chaque fois adaptées. Fonction médiane, la logistique
est, par essence, intégratrice et structurante.
Intégrer la notion logistique dans le
rapport avec un fournisseur remet singulièrement en cause les
traditionnelles procédures de négociation. Le partenariat change de
forme, tant faire livrer directement des lignes de production par le
fournisseur dans un site de distributeur implique une politique de
coopération nouvelle. Dès lors, le fournisseur n'est plus choisi
uniquement en fonction de ses critères antérieurs mais aussi de sa
capacité à assurer une qualité constante, garantie par le processus
qu'il utilise, une fiabilité de livraison totale, associée à une
rapidité suffisante pour répondre à des à-coups inattendus, enfin,
un prix, compatible avec les objectifs de l'entreprise à laquelle il
livre.
Ces exigences nécessitent des relations
nouvelles entre fournisseur et client. Quelle organisation, dès lors,
choisir? Dans le cas de la grande distribution, il se développe,
depuis quelques années le système dit de la plate-forme qui présente
des avantages considérables. Elle permet, par exemple, de
"massifier" les flux et d'obtenir des réductions sur les
prix du transport.
Si la tendance au passage en plate-forme
est à peu près la même partout, la distribution se trouve confrontée
à un choix d'importance: ou gérer elle-même ses entrepôts ou,
encore, faire appel à un prestataire extérieur.
La tendance est là et elle est forte: de
moins en moins de passages directs, de plus en plus de plates-formes.
La "massification" des flux par les entrepôts permet d'évidence
de réduire les coûts et de simplifier la gestion des
approvisionnements des magasins.
L'Efficient consumer response
(ECR) - c'est-à-dire la "réponse optimale au consommateur"
- est, pour mémoire, un ensemble de méthodes et de technologies
permettant d'accroître la satisfaction de la clientèle des biens de
consommation et donc les ventes. Concept mis en avant par la grande
distribution, il est, en quelque sorte, l'équivalent pour elle de la
démarche qualité totale dans l'industrie. Il marque la volonté
conjointe de conduire ensemble une stratégie visant à supprimer les
coûts inutiles rencontrés sur l'ensemble de la chaîne marchande, du
producteur au client. Il doit s'étendre à l'ensemble du commerce. La
réflexion autour de l'ECR s'articule sur quatre axes: la logistique,
les assortiments adaptés, l'efficacité des promotions et le
lancement des produits nouveaux.
C'est actuellement au niveau du pôle
logistique que le concept marque le plus d'avancées. Le recours au
code barre et à l'échange de données informatisées est devenu
monnaie courante. La gestion partagée des approvisionnements (GPA)
commence à voir le jour dans quelques enseignes. Ainsi, à partir de
données assez fines sur les ventes, le commerce fournit des prévisions,
à court terme, adressées au fournisseur.
L'automatisation des commandes, jointe à
d'autres techniques informatiques, comme les prévisions de vente, les
fiches produits ou les lectures optiques, entraîne une réduction des
délais et de stocks et une réduction des coûts administratifs.
Former le personnel à ces nouvelles méthodes
et techniques apparaît, dès lors, comme un enjeu majeur.....à
suivre
Agora Conseil économique et social (Avis
no 1999-01, 13 janvier 1999). Rapporteur: Charles Urbain.
documentation_liens-evol-log_depuisannees50
courriel
vos_emails.php
historiquelogistique
old-forklift-anciens-chariots-elevateurs-rossignoles3
actualites-historiquelogistique
remonter
|