produitphytosanitaire
liens vers des sites spécialisés.
News
et nouvelle norme emballage en bois Sur
site le 09/11/2003
Gironde - Collecte d'emballages vides de produits phytosanitaires du 15 au 19 septembre
12/08/2003 - 12h15 (FR)
http://www.terre-net.com/actus/actus_detail.asp?id=32491&periode=
Commentaires explicatifs concernant l’ordonnance relative au permis pour
l’utilisation des pesticides en général
(OPer-P)
CommentairesOPer-P_phytoErl_Schaedlingsbekaempfung_VL.pdf
Site 27/06/2005
Nouveau
ENTREPOSAGE DES PESTICIDES 16.03.2011
L'Association pour les normes d'entreposage des produits agrochimiques. Directeur général de l'ANEPA, CropLife Canada 21, Four Seasons Place, pièce 627, ...
EntreposagePesticides
documentation_phytosanitaire
/norme phyto-ispm5efs.pdf
164 Ko. En ligne 23/03/2004
code_bonconduit_phyto_crp99auto
Présentation Microsoft PowerPoint. 4900.50Ko (5018112 octets)
présentation bien détaillée des procédures d'utilisation, les
étiquettes, le stockage, et tout ce que vous aimeriez savoir sur les
phytos. En tout ce sont 97 diapos comme ceci.
code_bonconduit_phyto_crp99auto.
Fichier Win Zip 4440.00Ko (4546562 octets
toxique/jardin
lecture étiquette. PDF
1016.15Ko
stratégie phytosanitbsp01-01
856.03Ko
Sur
cette page : introduction et action
entrepris
Surveillance des
phytoravageurs comment ça se passe ?
Quelques
Valeurs
du DL50
et une
documentation sur les pesticides, définition,
action et démarches. Source : Webdico
Évaluation des
risques
phytosanitaires
La suite de ce dossier est en préparation
Aperçu
bref sur l'utilisation des produits face à l'environnement
Voici
en introduction un article qui démontre la situation dans le domaine de
lutte contre l'utilisation des produits hautement nocifs pour les plantes et remplaçable
de nos jours par des autres techniques. Ces efforts sont bien entendu répercuté
sur l'ensemble des continent selon des vitesses de mise en application adapté
aux contextes.
Déf. :
Qualifie tout ce qui a trait à la protection des plantes ou des produits récoltés.
Il
n'est donné que quelques détails sur ce sujet, du fait que les mouvements de transferts
de ces produits divers se gère
également au travers de la gestion logistique.
Quel
démarche sont entreprises ? un exemple ci-dessous, mais les efforts sont
actuellement énormes et sur le plans des cinq continents engagés.
|
|
L’application
restreinte des pesticides
• par la réduction des doses d’herbicides,
pratique qui gagne en popularité
• par le traitement en bandes ou localisé |
L’abandon de pesticides
• par l’emploi accru du désherbage mécanique
• par la culture sans herbicide
sur plus de 1 300 hectares
• par la culture biologique 700 producteurs
certifiés ou en voie de certification |
remonter
Le recours à la lutte intégrée
qui, dans un processus décisionnel, fait appel à tous les
moyens nécessaires (chimiques, mécaniques, physiques,
culturaux, biologiques...) pour réduire les populations
d’organismes nuisibles de façon efficace, économique
et environnementale
Sur 4 fois plus d’hectares (20 900 ha) en 2 ans chez les
agriculteurs membres des clubs-conseils en agroenvironnement
Sur plus de 10 000 hectares de cultures maraîchères et fruitières
chez les membres des clubs d’encadrement technique
La promotion et la mobilisation
grâce à un ensemble d’outils pratiques mis à la portée du milieu et à une
campagne intensive articulée autour du slogan Pesticides agricoles : moins
et mieux
Dans les trois dernières années, plus de 100 000 exemplaires de
publications variées
ont été distribués.
De 1992 à 1997, d’après les données connues, les quantités de pesticides
utilisées par unité de surface ont diminué de 11 %.
Les taux « hors normes » de résidus de pesticides dans les fruits et les légumes
sont passés
de 9 % à 0,3 % en moins de 7 ans.
* Stratégie phytosanitaire : ensemble d’actions structurées et concertées
pour la protection des
plantes visant la réduction des pesticides et l’adoption de la
lutte intégrée.
Source
: http://www.agr.gouv.qc.ca/agriculturedurable/gespestici.htm
remonter
Les étiquettes des
produits phytosanitaires contiennent des symboles de classement en fonction :
des dangers toxicologiques :
|
|
T+
Très toxique
Produit qui, par inhalation, ingestion ou pénétration
cutanée, peut entraîner des risques extrêmement graves, aigus ou
chroniques et même la mort |
|
Xn
Nocif
Produit qui, par inhalation, ingestion ou pénétration
cutanée, peut entraîner des risques de gravité limitée |
|
T
Toxique
Produit qui, par inhalation, ingestion ou pénétration
cutanée, peut entraîner des risques graves, aigus ou chroniques et même
la mort |
|
Xi
Irritant
Produit non corrosif qui, par contact immédiat,
prolongé ou répété avec la peau ou les muqueuses, peut provoquer une
réaction inflammatoire |
|
C
Corrosif
Produit qui, en contact avec des tissus vivants,
peut exercer une action destructive sur ces derniers |
remonter
(Réponse courriel
internaute du 31/07/2002)
Les programmes de l’ACIA
relatifs à la production et à la protection des végétaux ont pour objet
d’empêcher l’introduction et la propagation au Canada de phytoparasites
justiciables de quarantaine, de détecter et de combattre ou d’éradiquer les
phytoparasites désignés, et de délivrer des certificats concernant les végétaux
et les produits végétaux destinés au commerce intérieur et à
l’exportation.
Les enquêtes phytosanitaires
sont nécessaires pour permettre le maintien du statut de zone exempte de phytoparasites, détecter les nouvelles populations de phytoparasites et délimiter
les zones infestées par des phytoparasites dont l’aire de distribution est
restreinte au Canada. Les enquêtes phytosanitaires sont également partie intégrante
des programmes de lutte et d’éradication. L’information recueillie par les
enquêtes est à la base de tous les programmes réglementaires touchant
l’importation, l’exportation et le commerce intérieur. Dans tous les cas,
une information digne de foi et précise sur la distribution des phytoparasites
permet de décider rationnellement des mesures réglementaires à prendre.
L’information peut être utilisée à toutes sortes de fins, y compris pour
justifier l’abrogation, la modification ou même la non adoption d’une
mesure phytosanitaire. La plupart des enquêtes visent les phytoparasites
mentionnés à l’Annexe II du Règlement sur la protection des végétaux,
c’est-à-dire les organismes justiciables de quarantaine* qui n’ont pas
encore atteint les limites de leur aire de distribution potentielle au Canada.
remonter
|
|
DL 50*
par ingestion (rat) |
DL 50
par pénétration cutanée (rat) |
produit commercial |
liquide |
solide |
liquide |
solide |
très toxique (T+) |
inf ou égal à 25 |
inf ou égal à 5 |
inf ou égal à 50 |
inf ou égal à 10 |
toxique (T) |
compris entre
26 et 200 |
compris entre
26 et 200 |
compris entre
26 et 200 |
compris entre
26 et 200 |
nocif |
compris entre
26 et 200 |
compris entre
26 et 200 |
compris entre
26 et 200 |
compris entre
26 et 200 |
remonter
Composés
organiques utilisés pour lutter contre les parasites
animaux et végétaux.
Ceux-ci
affectent les cultures, les récoltes et denrées
stockées, les locaux d'habitation, etc., ou directement les hommes et les
animaux pour lesquels ils peuvent être vecteurs de maladies.
Modes
d'action
Suivant
la nature des organismes à détruire, on distingue principalement : les
insecticides, les fongicides, les herbicides et les rodenticides.
Les
modes d'action des pesticides sont divers. Par exemple, les insecticides peuvent
agir soit par simple contact avec l'insecte,
soit après inhalation, soit après ingestion ; dans ce dernier cas,
certains produits, dits systémiques, ou endothérapiques, pénètrent dans les
plantes, à travers les feuilles et/ou les racines,
d'où leur efficacité contre les suceurs de sève.
On
peut considérer que les premières mesures agricoles antiparasitaires par
traitement chimique (soufre, sulfate de cuivre CuSO4)
furent promues au XIXe siècle. Cependant, jusqu'en
1940, les pesticides consistent essentiellement en sels arsenicaux ou fluorés
et en extraits végétaux (roténone pyrèthre, quassine, nicotine).
C'est alors que sont mises en évidence les propriétés du DDT (dichloro-diphényl-trichloroéthane),
premier d'une série d'insecticides organochlorés de synthèse, généralement
actifs par contact (HCH [hexachlorocyclohexane] et lindane, méthoxychlore,
toxaphène, chlordane, aldrine et dieldrine [ces deux derniers sont désormais
interdits]...) ; certains de ces produits sont très stables et
persistants. Parallèlement, des dérivés organophosphorés (parathion, TEPP, déméton,
malathion, diazinon...) font la preuve de leur efficacité ; le plus
souvent, ces produits sont des insecticides systémiques, qui tuent les espèces
se nourrissant des plantes ou de leur sève ; ils persistent généralement
peu longtemps (de quelques jours à quelques semaines). Plus récemment, on a réussi
la synthèse d'insecticides puissants, les pyréthrinoïdes. Il existe bien
d'autres pesticides, de nature chimique très diverse : des carbamates sont
des insecticides à action par contact ou par ingestion, ou des fongicides, ou
des herbicides ; des dithiocarbamates et des composés organomercuriels
sont des fongicides ; certaines urées
substituées, des triazines, des acides phénoxycarboxyliques substitués sont
des herbicides sélectifs ; le coumafène, anticoagulant, est un
rodenticide.
Plusieurs
cas d'accoutumance aux pesticides ont été constatés ; ainsi, depuis
1950, la plupart des mouches sont devenues résistantes
au DDT. Il est donc important de découvrir régulièrement de nouveaux
insecticides, au mode d'action différent.
remonter
Emploi
Sauf
quelques exceptions, ces substances ne sont pas utilisées pures : elles
sont soit diluées dans de l'eau
ou dans un autre solvant (hydrocarbure),
soit mélangées avec une matière solide inerte (argile,
talc, charbon...) et
présentées sous forme de poudre ou de granulés, soit associées avec une denrée
servant d'appât (blé pour les rongeurs,
son pour les escargots et les limaces).
Ces préparations sont répandues sur la végétation, dans le sol ou dans les
locaux à l'aide de pulvérisateurs, de poudreuses, d'applicateurs de granulés,
ou même par avion. Certains pesticides gazeux (acide cyanhydrique HCN, bromure
de méthyle CH3Br) ou très volatils (sulfure de
carbone CS2, tétrachlorure de carbone CCl4,
paradichlorobenzène ClC6H4Cl)
conviennent particulièrement à l'intérieur des locaux. La plupart des
pesticides étant des poisons violents pour
l'homme, une réglementation sévère porte non seulement sur l'homologation des
pesticides, mais aussi sur les conditions de leur application et sur les teneurs
maximales tolérables dans les denrées alimentaires. Les risques de pollution
directe ou indirecte (accumulation au fil de la chaîne alimentaire) nécessitent
une grande vigilance.
Production
La
production mondiale de pesticides a connu une augmentation considérable depuis
la fin de la Seconde Guerre mondiale. Une tendance au ralentissement de la
croissance s'est observée depuis la fin des années 1980, liée en partie à la
découverte de substances plus actives nécessitant donc des tonnages plus
faibles. Cependant, pour certaines catégories de pesticides, les graves problèmes
écologiques, ou encore, pour d'autres, les dangers pour la santé humaine liés
à leur usage ont conduit à leur interdiction dans les pays développés (cas
des insecticides organochlorés), voire à l'arrêt total de leur fabrication.
On
constate que, depuis la fin des années 1980, la consommation des herbicides est
la plus importante dans l'agriculture
nord-américaine ou européenne. À l'opposé, c'est l'usage des insecticides
qui prévaut dans les pays tropicaux.
remonter
|
Pollution
L'usage
des pesticides s'accompagne d'une contamination des écosystèmes
terrestres et aquatiques, voire de l'ensemble de la biosphère
pour les plus persistants d'entre eux.
Au
moment même des traitements, se produisent des dérives de brouillards qui
transportent les substances loin des zones de culture. Ultérieurement, ces
substances sont incorporées aux sols et, soit
directement soit par ruissellement, amenées dans les eaux. Dans un cas comme
dans l'autre, elles sont ensuite intégrées aux réseaux trophiques et
subissent éventuellement une bioamplification dans les chaînes
alimentaires.
La
pollution des eaux et des sols par les pesticides atteint de nos jours des
dimensions préoccupantes dans diverses régions du monde. On détecte ainsi
jusqu'à plusieurs dizaines de pesticides différents dans certaines nappes
phréatiques tant en France qu'en Amérique du Nord.
Un
autre phénomène accroissant la contamination de l'espace rural par les
pesticides est lié à la croissance des cas de résistance à ces substances.
Plus de cinq cents espèces de ravageurs des cultures présentent ainsi de nos
jours dans le monde une résistance à au moins une famille chimique de
pesticides.
Stratégies
alternatives
Des
tentatives visant à limiter l'emploi des pesticides consistent à faire appel
aux ennemis naturels des espèces nuisibles ; ainsi, une variété de coccinelle
combat la cochenille des agrumes ;
certains mycovirus s'attaquent à divers champignons
phytoparasitaires. Un autre procédé est de répandre des mâles stérilisés,
ce qui conduit les femelles à pondre des œufs stériles. L'ensemble de ces méthodes
dites biologiques n'a cependant donné, à ce jour, que des résultats partiels
et localisés. Toutefois, la lutte intégrée, c'est-à-dire la combinaison
harmonieuse des méthodes de lutte chimiques et biologiques, voire culturales,
peut permettre de limiter l'emploi des pesticides, lesquels restent néanmoins
indispensables.
remonter
des dangers pour l'environnement
:
|
|
N
dangereux pour l'environnement
symbole en cours d'adoption par les préparations
|
des dangers physico-chimiques :
|
|
F
Facilement inflammable
Produit pouvant s'enflammer facilement |
|
E
Explosif
Produit pouvant exploser sous l'effet de la flamme
ou d'un choc violent |
|
F+
Extrêmement inflammable
Produit pouvant s'enflammer très facilement |
|
O
Comburant
Produit qui, en contact avec d'autres substances,
notamment avec des substances inflammables, dégage une forte chaleur |
remonter
Le module Évaluation des risques
phytosanitaires (ERP) effectue des évaluations des risques phytosanitaires pour
l'Agence canadienne d'inspection des aliments. Le but des évaluations de
risques est de déterminer si des produits pourraient transporter des parasites
ou des maladies capables de s'établir au Canada et d'occasionner des pertes aux
agriculteurs ou aux forestiers ou de provoquer des changements environnementaux.
Si un organisme biologique devait constituer un risque pour le Canada, la
Division de la santé et de la production des végétaux pourrait le frapper
d'un règlement pour l'empêcher d'entrer au pays, ou de se propager s'il y est
déjà.
Les évaluations de risques se font pour
chaque espèce qui peut nécessiter des mesures de quarantaine au Canada. L'évaluation
repose sur la biologie de l'organisme et sur sa capacité ou non à survivre
dans certaines parties du Canada. L'évaluation des risques revient à la
Division de la production et de la protection des végétaux, qui consulte régulièrement
d'autres organismes, des intervenants de l'industrie et la population avant de
prendre une décision sur l'opportunité de réglementer un organisme. Le module
de l'ERP compte actuellement six évaluateurs de risques : trois entomologistes,
deux pathologistes et un malherbologiste.
31.07.2002
Courriel
d'une internaute et notre guide de recherche, merci à tous. Sujet produits
phytosanitaires.
Pour toutes personnes intéressée par des développements sur ce
sujet, voici
un des nombreux liens existants dans des sections de plusieurs Etats : http://www.inspection.gc.ca/francais/plaveg/protect/productf.shtml
BIEN utiliser les sources d'information sur les dangers du ... Jura Agricole -
Jura, France. 12/06/2004
L’emballage concourt à votre sécurité et à votre santé autant lors du stockage que de la manipulation des bidons et de leur élimination.
L’étiquetage
http://www.laterredecheznous.com/news/fullstory.php/aid/1030/%85_
Comment_bien_utiliser_les_sources_d%92information_sur_les_dangers_du_produit_:.html
remonter
15.05.2009 16:01:43
|
|
|
|
|
|