Comment se conçois
des postes travail ?
Quels cheminements emmènent
à tel ou tel résultat ?
Se peut-il qu'un jour
je doive participer d'une manière ou d'une autre à l'aménagement d'un lieu
quelconque de mon entreprise ?
Afin de tenter de
répondre à ces questions, j'ai rassemblé un "Layout" qui vas
nous aider à avoir juste une idée de ce domaine qui nous concerne vu les
dimension de certains de nos dépôt. Document à
adapter à nos conditions et situations régionaux.
Pour
la Suisse, je réunis de Loi sur le travail et les ordonnances et
l'aménagement très prochainement.
Voir
les liens au bas de la page sommaire |
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5. PLAN
DE MASSE, CIRCULATIONS ET IMPLANTATIONS
5.1. CIRCULATIONS EUXTERIEURES AUX
BATIMENTS
5.1.1. Organisation des flux de
circulation
Les types de flux à considérer dépendent de
l'activité de l'entreprise. En général, les circulations principales
à prendre en compte sont :
les camions fournissant l'entreprise en matières
premières ou produits avant transformation par l'entreprise (de
l'extérieur vers l'entreprise),
les camions évacuant les produits fabriqués par
l'entreprise (produits finis, déchets), de l'entreprise vers l'extérieur,
les chariots élévateurs circulant entre les bâtiments
(et éventuellement d'autres véhicules),
les piétons circulant entre les bâtiments pendant
les horaires de travail,
les piétons circulant en début et fin de poste, O9
les entrées et sorties d'usine du personnel de
l'entreprise (piétons, véhicules deux roues, automobiles),
les voies ferrées intérieures à l'entreprise.
Les principes à mettre en oeuvre sont les suivants :
choisir de préférence des systèmes de transport
des produits mécanisés plutôt que manuels et des systèmes
continus plutôt que discontinus,
éviter les croisements de ces différents flux
(aires d'évolution séparées pour chaque type de flux), notamment
piétons et camions,
éviter ou limiter les manoeuvres (demi-tours,
marches arrière) notamment des camions,
aménager les croisements pour faciliter la
visibilité.
Dans la pratique, la mise en oeuvre de ces principes
doit tenir compte :
d'autres impératifs tels que la limitation nécessaire
du nombre d'entrées (extérieur entreprise) pour des raisons de
gardiennage et de commodité pour les transporteurs (exemple :
faire viser des documents à l'entrée et à la sortie de
l'entreprise),
de différentes contraintes telles que
l'implantation des bâtiments déjà construits.
La figure 5.1 est un exemple de recherche d'optimum
concernant le plan de circulation d'une entreprise, comportant notamment
un sens giratoire unique pour les véhicules.
Une méthode de recueil des données pour déterminer
les zones de croisements multiples a été mise au point par l'INRS (La
circulation dans l'entreprise. ED 715, INRS). Une procédure en 5 étapes
est proposée : établir un plan de l'entreprise, recenser les
moyens de transport et de déplacement, déterminer et tracer sur le
plan les itinéraires, déterminer les périodes de circulation et les
représenter graphiquement, identifier les zones de circulation à
croisements multiples.
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Figure 5.1.
Exemple de plan de circulation prévisionnel.
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5.1.2. Circulation des piétons
Ces circulations sont à étudier de manière
approfondie, les risques étant de plusieurs types : collision avec
des véhicules (risque le plus grave), chute de plain-pied (risque le
plus fréquent), heurt avec des obstacles fixes.
On peut conseiller de :
réduire au minimum les circulations de piétons à
l'extérieur des bâtiments en jouant sur l'emplacement des
parkings, des bâtiments annexes, des locaux sociaux. Ainsi les
vestiaires doivent se trouver sur le cheminement parking postes
de travail ;
respecter le tracé des lignes de "désir"
(cheminement le plus court). Les cheminements piétonniers seront
protégés des intempéries (allées couvertes, galeries fermées) ;
protéger les allées de circulation :
signalisation, allées réservées aux piétons (voir figure 5.2) ;
limiter les circuits avec dénivellation pour éviter
les chutes et permettre l'accès aux handicapés : pentes
maximales de 5 %, marches et obstacles sur le parcours à éviter,
largeur d'allée minimale : 1,20 m.
Figure 5.2.
Exemples de solutions pour éviter les collisions au franchissement
d'une porte" piétons".
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Les lieux de travail doivent être aménagés
en tenant compte de la présence de travailleurs handicapés (voir arrêté
du 27 juin 1994).
Dans la pratique, on prendra comme base
le fauteuil roulant pour handicapé moteur : gabarit minimal 0,80 m
de large et 1,30 de long, diamètre de circonvolution 1,50 minimum
(voir figure 5.3).
Parmi les points à examiner lors de la
conception des lieux de travail, on peut citer :
Rampes d'accès : les cheminements doivent être
de préférence horizontaux.
Lorsqu'une pente s'avère nécessaire, elle doit être
inférieure à 5 %. Lorsqu'elle dépasse 4 %, un palier de
repos est à prévoir tous les 10 mètres.
Paliers de repos : un palier de repos
horizontal est nécessaire devant chaque porte, en haut et en bas de
chaque plan incliné. Longueur minimale : 1,40 m hors débattement
de porte.
Cheminements : les sols ne doivent pas présenter
d'obstacles pour les roues. La largeur minimale du cheminement est
de 1,40 m.
Ressauts : ils sont à éviter. Dans le cas
contraire, ils seront arrondis ou munis de chanfreins. Hauteur
maximale : 2 cm (4 cm maximum avec chanfrein de 12 cm
de long). Distance minimale entre 2 ressauts successifs :
1,20 m.
Portes et entrées : la largeur des portes est
fonction de leur implantation et du flux de personnel (voir réglementation).
Figure 5.3.
Gabarit pour un fauteuil roulant. |
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5.1.3. Circulation des
camions
Eviter ou limiter la circulation à double sens et
les manoeuvres (marche arrière, demi-tour).
Prévoir des routes intérieures d'une largeur
suffisante et surtout des aires de dimensions adaptées pour les
manoeuvres (si celles-ci ne peuvent être évitées dans le plan de
circulation). A titre d'exemple, la largeur recommandée pour faire
un demi-tour continu est de 30 m aussi bien pour un tracteur et
semi-remorque, un camion tracteur et une remorque, que pour un
camion d'intervention des sapeurs-pompiers. Pour tracer une courbe
qui permette un virage aisé du véhicule, il est prudent de prévoir
un rayon de 13,50 m dans l'axe de la chaussée. Les voies
destinées aux camions d'intervention des sapeurs-pompiers doivent
être larges d'au moins 4 mètres, libres sur 3,50 m
minimum en hauteur.
Prévoir le cas échéant, un parking
"tampon" pour réguler le flux d'entrée. Il sera à
proximité des locaux administratifs (pour les documents à faire
viser) et des locaux sociaux prévus pour les chauffeurs. Dans les
établissements recevant des véhicules frigorifiques, prévoir des
postes électriques de branchement pour les longs parcages afin d'éviter
les bruits de moteur à combustion et la pollution.
Concevoir les revêtements de sol en fonction des
charges à prévoir : allées de circulation, aires d'attente
(risque de poinçonnement du sol par béquilles).
Signaler et matérialiser les routes, allées,
zones de stationnement.
5.1.4. Bibliographie
Code du travail, art. 235-3-18 concernant les
aménagements pour handicapés.
Arrêté du 27 juin 1994 relatif aux
dispositions destinées à rendre accessibles les lieux de travail
aux personnes handicapées (JO 18 juillet 1994).
Etablissement d'un plan de circulation sur les
lieux de travail. Recommandation CNAM R 259. Paris, INRS, 1985.
Le guide de la circulation en entreprise. ED 800.
Paris, INRS, 1996.
Locaux de travail, aménagements pour l'emploi de
personnes à mobilité réduite. 1989. CNFLRH, 38, bd Raspail, 75007
Paris. |
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5.2. IMPLANTATION DES BATIMENTS ET AIRES DIVERSES
Cette implantation est liée au plan de circulation décrit précédemment.
Les points suivants doivent être examinés plus particulièrement :
Ne pas oublier les aires et locaux annexes tels que les
aires de stockage, l'évacuation des déchets, les locaux sociaux, les
parkings pour les voitures du personnel (prévoir 20 à 25 m2 par
voiture).
Aménager un local d'accueil pour les chauffeurs routiers
(coin repos avec sanitaire et téléphone).
Respecter une distance minimale entre bâtiments (20 mètres
souhaitables) pour faciliter les circulations et permettre la vue sur l'extérieur
à hauteur des yeux de l'intérieur des bâtiments. Pour les bâtiments de
stockage à risque d'incendie et sans risque d'explosion, cette distance
sera égale à la hauteur du bâtiment avec un minimum de 10 mètres.
Penser également aux extensions prévisibles à moyen et long terme.
Dans le choix du nombre et de l'implantation des bâtiments
principaux, on cherchera à faire correspondre l'unité géographique (bâtiment),
l'unité significative produit (ligne de produit), la structure hiérarchique
et certains locaux (vestiaires, sanitaires, aires de détente). Eviter les bâtiments
"couloirs", lieux de passage interférant avec les postes de
travail.
Une orientation franche des bâtiments nord-sud est à
privilégier pour éviter des apports thermiques excessifs (par les vitrages
latéraux et zénithaux) en été.
Dans le cas de bâtiments à étages, la hauteur maximale
conseillée est de 25 mètres pour permettre un minimum d'éclairage
naturel par les façades aux niveaux inférieurs et une vue sur l'extérieur.
Dans les établissements commerciaux, les questions liées au
transport et à la manipulation des fonds sont à traiter dès la conception des
locaux.
D'une manière générale, la sécurité des personnes est améliorée
par toutes mesures visant à réduire les encaisses à un minimum défini,
mettre en place des moyens de transfert des fonds à l'intérieur de l'établissement,
éviter aux transporteurs de fonds tout contact avec le public et la clientèle.
Pour la caisse client, prévoir, selon les cas (caisse isolée,
tour de débit, batterie de check-out,etc.) :
un coffre tirelire pour le stockage des espèces,
un transfert pneumatique, notamment pour les caisses périphériques
(centre auto, essence, jardinerie, bricolage, matériaux,etc.).
Celles-ci devront en outre disposer d'une liaison inter phonique
avec la caisse centrale ou de tout autre moyen d'appel équivalent.
Dans le cas des check-out en batterie, installer un transfert pneumatique au
moins toutes les deux ou trois caisses. Si cette solution ne peut être retenue,
prévoir des prélèvements fréquents à intervalles irréguliers et par des
personnes différentes.
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Pour les magasins qui ne sont pas en libre-service :
éviter de placer la caisse près d'une issue (escalier,
sortie,etc.),
installer une liaison inter phonique pour les caisses isolées
(liaison avec la caisse centrale ou le service de sécurité),
aménager le poste de travail pour une meilleure sécurité
(protection par vitrages résistants) et une ambiance climatique
satisfaisante (résolution des nuisances dues aux vitesses d'air, à la
chaleur diffusée par les spots, aux reflets, etc.).
Pour la caisse centrale :
implanter si possible la caisse centrale de telle sorte
qu'elle soit :
hors de la vue de la clientèle et que ses accès immédiats
soient également interdits au public,
le plus près possible d'une voie d'accès routière et
qu'elle permette le transfert des fonds sans risques pour les transporteurs
habilités,
dans toute la mesure du possible, installer un "trappon"
adapté (voir figure 5.4),
équiper le local d'une porte blindée avec judas, dont
l'ouverture est commandée de l'intérieur et prévoir un sas.
Figure 5.4 Exemple
d'implantation d'un trappon.
(1) Les portes du sas sont commandées de
l'intérieur de la chambre forte.
(2) Système permettant l'identification (judas, caméra...).
(3) Sont associés au trappon :
la visualisation des TDF et leur identification,
un système à deux serrures différentes autorisant la
rotation
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5.3. CIRCULATIONS
INTERIEURES AUX BATIMENTS
Les circulations intérieures sont à l'origine de
deux risques principaux : les collisions, notamment entre piétons
et chariots élévateurs ; les heurts et chutes, principalement sur
les parcours piétonniers. Au niveau de la conception des bâtiments,
une réflexion sur l'organisation des flux et la circulation des piétons
doit permettre de prévenir ces risques.
5.3.1. Organisation des flux de circulation
Dans la plupart des entreprises, les flux à prendre
en compte à l'intérieur des bâtiments sont les suivants :
engins motorisés circulant dans les allées et
desservant les postes de travail : chariots élévateurs,
transpalettes électriques, etc.
piétons circulant avec des charges : chariots
à main, transpalettes manuels, etc.
piétons circulant sans charge : en début et
fin de poste, pendant la durée du travail (pour aller d'un poste à
un autre ou du poste de travail vers d'autres locaux).
A ces flux s'ajoutent fréquemment des moyens de
manutention et de transport continus (ex. convoyeurs au sol et aériens)
liés au process de fabrication.
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Principes à mettre en oeuvre pour éviter les
collisions
Il s'agit tout d'abord de limiter les circulations nécessaires
(des produits, engins et opérateurs) en concevant le process et les
implantations en fonction de cet objectif.
On distinguera clairement les allées de circulation
permanente (passage des engins motorisés), des allées de circulation
non permanente réservées aux piétons (avec ou sans charge) permettant
aux opérateurs d'aller d'un poste à un autre sans passer par l'allée
principale.
Pour les allées de circulation permanente, les
largeurs dépendent à la fois des flux de circulation (sens unique
ou double sens des chariots automoteurs, voir figure 5.5 et des
manoeuvres à effectuer pour déposer et reprendre les charges, voir
figure 5.6).
Pour les allées de circulation non permanente, la
largeur minimale pour des piétons sans charge est de 80 cm ;
lorsque les opérateurs transportent des charges (ex. poussée de
chariots à main), on peut prendre comme règle la largeur du
chariot ou du chargement (la plus grande des deux) augmentée de 50 cm
pour un sens unique, la largeur des deux chariots ou des deux
chargements (la plus grande des deux) augmentée de 70 cm pour
un double sens de circulation.
Pour les allées spécifiques (ex. dans les
magasins de stockage), les largeurs sont à étudier cas par cas.
Figure 5.5.
Largeur réglementaire des allées de circulation permanente. |
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Figure 5.6 Schéma
illustrant quelques dimensions recommandées pour l'espace de travail.
*La
constitution d'un petit groupe de travail est facilitée si les
condition suivantes sont remplies : effectif entre 3 et 15 personnes,
objectifs de production communs, possibilités de choix par décision
de groupe (répartition des tâches, rotation, etc.), réunions de
groupe, stabilité du groupe, commandement unique.
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5.3.2. Organisation des
circulations de piétons
Aux risques de collision (traités précédemment)
s'ajoutent les risques de heurts et de chutes.
Les principes généraux à mettre en
oeuvre sont les suivants :
Eviter les obstacles sur les parcours : éléments
de machines et d'installations dépassant dans les allées (en
statique ou en dynamique), obstacles au sol ou près du sol
(canalisations, tuyaux flexibles, caillebotis,etc.).
Prévoir des emplacements suffisants dans l'atelier
pour les stocks intermédiaires, les bennes à déchets, les
chariots en attente.
Soigner particulièrement les sols sur ces parcours :
revêtements résistants, faciles d'entretien et homogènes tout
au long des parcours à suivre.
Problèmes spécifiques à certaines
circulations de piétons :
Circulation début et fin de poste : trajet le
plus direct possible entre l'extérieur, les vestiaires et les
postes de travail. Pour les organisations du type" travail en
équipes" et "horaires mobiles", les risques de
collision sont plus importants : prévoir des circuits piétons
séparés ou une allée principale suffisamment large pour autoriser
le passage des piétons en sécurité (marquage par bande jaune).
Circulation des piétons sans charge. Le trajet
poste de travail sanitaires est à étudier avec soin : éviter
la traversée d'allées principales, préférer la mise en place de
plusieurs locaux à faible distance des postes de travail à
l'implantation d'un seul.
Circulation des piétons avec charges. Ces
circulations ont des incidences sur la largeur des allées (voir
paragraphe 1), la dimension et le type de portes de communication
entre locaux du même atelier. Des aménagements sont à prévoir
pour les personnes handicapées moteurs (voir chap. 5.1.2).
5.3.3. Bibliographie
Le guide de la circulation en entreprise. ED 800.
Paris, INRS, 1996.
circulation_enentreprise_inrs_fr_ed800.
Chariots automoteurs de manutention. Conseils
d'utilisation. ED 766. Paris, INRS, 1994.
../questionnaires/manuten_chariots_ed766.
PDF
|
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5.4. IMPLANTATION
DES POSTES DE TRAVAIL
L'implantation des postes de travail est très dépendante du
process de fabrication. Seules quelques règles générales peuvent être énoncées
ici :
Distance entre deux postes de travail. Il s'agit de
concilier plusieurs impératifs parfois contradictoires : à la fois
faciliter les communications à l'intérieur de petits groupes de travail et
éviter que les nuisances d'un poste ne se répercutent sur d'autres postes
(encombrement des produits manipulés, bruit, ambiance thermique...).
Accès aux machines et installations. Le tableau établi à
partir de la norme AFNOR NF X 35-107 : dimension des accès aux
machines et installations, donne quelques références sur les largeurs de
passage et d'accès (voir tableau 5.1).
Pour les bureaux, les surfaces minimales souhaitables sont de
9 m2 pour 1 personne, 12 m2 pour 2 personnes,
21 m2 pour 3 personnes, 32 m2 pour 4 personnes,
45 m2 pour 5 personnes. Par ailleurs, les bureaux tout en
longueur sont à éviter. Les dimensions suivantes sont conseillées :
longueur < 2 fois la largeur pour des bureaux <= 25 m2,
longueur <= 3 fois la largeur pour les bureaux > 25 m2.
Hauteur sous plafond : minimum 2,50 m, souhaitable
2,80 m.
La répartition entre bureaux individuels et collectifs est
fonction de nombreux critères : niveau hiérarchique, type de travail,
communications téléphoniques, visiteurs. L'optimum pour un bureau collectif
est de 2 à 5 personnes, chiffre correspondant à un petit groupe de
travail. Pour les bureaux paysagers, éviter un effectif supérieur à 10 personnes.
Tableau 5.1 Références
concernant les largeurs de passage et d'accès
D'après la norme NF X 35-107 |
|
Largeur recommandée
(en mm) |
Largeur d'un passage habituel soit entre machines ou éléments
d'installation, soit pour l'accès au poste de travail. |
800 mini
(distance réglementaire) |
Largeur d'un accès pour intervention occasionnelle (dépannage
- maintenance) |
600 mini* |
Largeur d'accès entre palettes, conteneurs, déposés
à proximité du poste de travail |
500 mini |
Débattement sur le devant d'un poste de travail (à
emplacement occupé par l'opérateur à son poste) |
1 000 mini
d'avant en arrière |
Si l'opérateur tourne le dos à une allée ou
circulent des engins motorisés
|
1 500 mini |
* 800 si accès en cul-de-sac sur plus de 3 mètres.
5.4.1. Bibliographie
NF EN 547. Sécurité des machines. Mesures du corps
humain. Partie 1, 2, 3. Paris, AFNOR.
NF X 35-102. Dimensions des espaces de travail en bureaux.
Paris, AFNOR.
L'aménagement des bureaux. Fiche pratique de sécurité ED
23. Paris, INRS, 1990.
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