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les incoterms1

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    LES INCOTERMS :DEFINITION  

[incoterm les termes]

incoterms étapes schémas page htm 29/06/2003 New

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-Définitions des Incoterms

-La chaîne documentaire

--Les techniques de paiement

 

International Commercial Terms

-Les 13 Incoterms, notions.

Guide du Chargeur : 

en anglaisle glossaire

Lien en bas pour les glossaires, dico, lexique

LES INCOTERMS ZIP. (PPT Microsoft PowerPoin

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Version espagnole:

Tema 16. La contratación internacional III. INCONTERMS es

 

eyefortransport - News & Articles  Nouveau News Transport en ligne-Anglais 18/11/2003

 

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Définitions des Incoterms

  Lorsque se noue le contrat commercial d'achat/vente, l'essentiel est l'accord sur «la chose et le prix». Mais du «tope-là» des maquignons aux échanges modernes, un grand nombre d'autres points doivent être approuvés par les deux parties surtout si le transport de «la chose» s'impose.
Il importe, d'abord, de savoir qui de l'acheteur ou du vendeur va être chargé du transport. Qui, d'autre part, va assumer les risques encourus par «la chose» au cours de ce transport ? Qui va fournir les documents de transport ? Où l'acheteur va-t-il prendre livraison ?
En définitive, il importe que les deux parties sachent quels services vont être inclus dans «le prix».

Définition: L'objectif des incoterms est d'établir un ensemble de règles internationales pour l'interprétation des termes les plus utilisés dans le commerce international. Au moyen de ces règles nous évitons les différentes interprétations qui peuvent apparaître entre ce qui est différents impliqués ou, au moins, ils pourront être réduits dans une grande mesure.

Les Incoterms sont nés de la pratique


Au cours des siècles passés, de la pratique des échanges se sont peu à peu dégagés des termes commerciaux qui entendaient apporter des réponses à ces questions : il est donc devenu nécessaire d'accompagner la pratique en publiant des Règles INTERNATIONALES pour l'Interprétation des TERMES COMMERCIAUX les plus utilisés.

Les Incoterms de la CCI (Chambre de Commerce Internationale) répondent à ce souci. Les Incoterms ne répondent cependant pas à tout et notamment n'organisent pas le paiement du prix .
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Observations : Si les Incoterms ont été conçus à l'origine pour régir des relations de commerce international, il est conseillé aux chargeurs de les utiliser également, dans la mesure du possible, en transport national.

La première publication des Incoterms a été réalisée par la Chambre de Commerce Internationale en 1936. Depuis, sont intervenus divers révisions, amendements et modifications en : 1953 - 1967 - 1976 - 1980 - 1990 et 2000.



Raisons des révisions


# Une nécessaire évolution


Faire «coller» au maximum les Incoterms aux évolutions des modes et procédés du transport international et aux évolutions survenues dans les pratiques commerciales.



# Pour la révision 2000

Définitions des obligations de chargement/déchargement pour les Incoterms omni modaux (FCA, CPT, CIP, DDU, DDP).
Clarification du choix des Incoterms en fonction du point de passage des coûts recherché.
Modifications mettant à la charge du vendeur (et non plus de l'acheteur), les obligations de dédouanement dans le cas de FAS et de DEQ, sauf volonté explicite des parties.


Observations
: Une révision «sage» qui devrait cependant corriger des imprécisions et être en meilleure adéquation avec la pratique internationale.


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Intérêt des Incoterms

Permettre de régler un grand nombre de problèmes résultant de la vente ou de l'achat international, tels que le lieu de livraison, le transfert de risques, la répartition des frais d'acheminement et la charge de la fourniture des documents de transport et de douane.


Observations : Les Incoterms ne régissent pas, par contre, les relations avec les transporteurs, les relations avec les assureurs, le paiement ni le transfert de propriété.



Originalité des Incoterms

Il convient de remarquer que :
- les Incoterms n'entachent pas la liberté contractuelle des parties ;

- les parties conservent, en effet, la possibilité d'insérer d'autres clauses dans les contrats que celles édictées par les Incoterms.
Cette liberté contractuelle des parties est stipulée à l'article 1134 du Code civil, selon lequel « les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites » ;

- dans ce cas, les parties doivent être en parfait accord et faire impérativement référence aux autres clauses dans le contrat ;
-
l'application des Incoterms reste facultative et n'intervient pas automatiquement dans les transactions internationales, mais dès lors que les parties sont convenues de les utiliser, elles doivent impérativement y faire référence dans le contrat qui les lie  ;
-
les co-contractants, tout en faisant expressément référence aux Incoterms dans leur contrat, demeurent libres de prévoir des clauses additives particulières. Les Incoterms stipulent clairement que « toutes dispositions des régies doivent céder le pas aux dispositions particulières insérées par les parties dans le contrat qui les lie ».


 
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International Commercial Terms La chaîne documentaire  Les techniques de paiement

Glossaires lexique dico

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Dico des termes financiers. HTM Pare Annexe : Le GLOSSAIRE de l'emballage. HTM  
Termes courants du glossaire de l'exportation. HTM en anglaisle glossaire  

téléchargements

Défi logistique du transport routier par mmm-group. 

Exemple du contenu par la diapo N°16, aperçu de la problématique européenne sur les alternatives des choix de moyen et leurs éléments marquants. 21 diapositive PPT 1331 Ko. vers la page

rapports, études européennes transport et téléchargement              8/12/02 page Htm présentation en real time du métier de logistique transport (Belgique) avec des notions de base notamment incoterms, de la prise de commande, choix du moyen de transport, journée du camionneur original et utile. LetsGo ! transport logistique letsgo. PDF 398 Ko

http://www.letsgo.be/fr/index.htm 

http://www.transitairesromands.ch/ Les transitaires romands

http://www.spedlogswiss.com/home/ Association suisse des transitaires et des entreprises de logistique.

 

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Une opération de commerce international implique toujours un nombre de documents supérieur à celui d'une opération nationale. Une bonne gestion de ces documents est souvent cruciale pour le bon dénouement des opérations (en particulier le paiement - voir ). Quels sont ces principaux documents et quelle est leur utilité ?

La gestion des commandes

Nous nous situons dans le cas où une offre ferme a été établie à l'exportation.
   
Lors de la réception d'une commande, le service export en vérifie d'abord la provenance et le contenu. La vérification de la provenance est extrêmement importante dans le cadre de la gestion du risque de non-paiement. Celle-ci devra être plus ou moins approfondie en fonction du mode de paiement proposé par l'acheteur :
-> S'il s'agit d'un crédit documentaire irrévocable et confirmé, la provenance importe peu
-> Si aucune garantie particulière n'est prévue, trois cas se présentent :
- il s'agit d'une filiale de l'entreprise : pas de contrôle particulier ;
- il s'agit d'un client habituel : vérification de l'en-cours et du paiement régulier des échéances passées et comparaison des autorisations prévues par une éventuelle assurance-crédit et de l'en-cours de l'acheteur avec la nouvelle commande ;
- il s'agit d'un nouveau client : renseignements de notoriété (CFCE, PEE, CCIFE), consultation des sociétés amenées à assumer le risque s'il y a lieu (COFACE, affactureur...).
Le contenu doit également être vérifié attentivement : pas d'ambiguïté sur le produit et les conditions de vente (délai - vérification des stocks disponibles, prix - incoterm, modalités de paiement), pas de clauses inacceptables ou entraînant une augmentation potentielle des coûts non prise en compte dans l'offre initiale...

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Si la commande est acceptée dans ces conditions par l'entreprise, il est nécessaire de la confirmer par une facture pro-forma. Il ne s'agit pas seulement de politesse, mais le document ainsi envoyé peut être utilisé par l'importateur pour obtenir les devises nécessaires au règlement ou les autorisations administratives nécessaires à l'importation. La conformité de ce document au contrat passé est donc capitale. Si les termes en sont différents, elle sera considérée au regard du droit du commerce international comme une nouvelle proposition. Cette facture pro-forma reprend les informations habituelles d'une facture internationale. Elle devra être identique à la facture proprement dite.

Parallèlement à la réalisation de la transaction, un ensemble de documents doivent être élaborés - la liste de ces documents est précisée dans le cas de remises documentaires ou de crédits documentaires (leur conformité est alors cruciale pour le paiement). Certains de ces documents doivent être visés et il faut donc tenir compte du délai d'obtention des visas dans la planification des tâches. Quels sont ces principaux documents ?

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Les principaux documents du commerce international

La facture commerciale : document indispensable dans toutes les transactions. Elle accompagne les marchandises lors du passage de la frontière. Elle doit comporter l'ensemble des mentions obligatoires en droit français (notamment le n°SIREN) et toutes les informations habituellement requises pour une facture (noms et adresse des contractants, conditions et termes du contrat, modalités de transport, modalités de paiement, mentions sur l'origine et la destination de la marchandise, description de la marchandise, code éventuel, poids, volume ou nombre d'unités, prix unitaire, montant de la transaction).

La facture douanière : de forme spécifique à un pays ou à un groupe de pays, elle consiste généralement en un imprimé à remplir reprenant de manière standardisée les éléments essentiels de la facture. Certains importateurs exigent une authentification du vendeur par les autorités commerciales du pays exportateur (on parle alors de facture consulaire).

Les documents douaniers : au minimum la déclaration en douane, parfois une licence d'exportation (pour les produits sensibles) et les documents d'importation si l'incoterm prévoit la prise en charge de cas formalités par l'exportateur.

Un certificat d'origine est demandé lorsque l'origine de la marchandise permet de bénéficier de régimes dérogatoires ou revêt de l'importance pour l'importateur. Ce document est visé par la chambre de commerce et d'industrie (CCI) de la circonscription de l'exportateur.

Des certificats divers tels que des certificats sanitaires ou d'analyse sont exigés dans le cas de certains produits, notamment agro-alimentaires.

Dans le cas de l'expédition groupée de cartons semblables, il est courant de réaliser une liste de colisage (packing list) indiquant de manière précise le contenu de chaque colis.

Lorsque les colis sont susceptibles de connaître des modifications de poids pendant le transport, il est préférable de joindre une liste de poids, indiquant le poids de chacun des colis.

Enfin, les attestations de prises en charge par les transitaires et/ou les documents de transport correspondant au(x) mode(s) de transport utilisé(s) - lettre de voiture CMR (route) ou CIM (fer), lettre de transport aérien ou connaissement maritime généralement - sont également joints au dossier documentaire.

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Outre les techniques utilisables dans toute opération de commerce, le risque accru lié aux opérations de commerce international a donné lieu à   l'élaboration de méthodes de paiement spécifiques.

L'encaissement simple

Il s'agit de la méthode la plus simple et elle n'est pas propre aux opérations de commerce international. L'encaissement n'est pas  conditionné par la remise des documents au client.

Notons que le paiement peut se faire par chèque (chèque d'entreprise, certifié ou non) ou chèque de banque, par virement (l'ordre de virement peut être adressé par courrier, par télex, ou et c'est le système le plus sûr par SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Télécommunications), éventuellement par mandat poste international, mais aussi, si des délais de paiement ont été accordés par acceptation dune traite ou émission d'un billet à ordre. C'est l'une de ces opérations que nous appellerons "encaissement" dans la description des différentes techniques.

Le contre-remboursement ("cash on delivery")

Cette technique donne au transporteur final de la marchandise un mandat d'intermédiaire financier. C'est lui qui assure l'encaissement et le rapatriement de l'instrument de paiement. Elle n'est utilisée que pour les expéditions de faible valeur unitaire.
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La remise documentaire

Il s'agit d'une technique par laquelle l'exportateur mandate sa banque pour recueillir, par l'intermédiaire de son correspondant local, le règlement ou l'acceptation de l'acheteur, au moment de la présentation des documents représentatifs de la marchandise.  Le paiement ou l'acceptation de la traite n'interviendra donc que si les documents exigés sont bien fournis par le vendeur. Deux banques sont impliquées : la banque du vendeur, ou banque remettante (à qui l'on remettra les documents et qui les transmettra à la banque présentatrice) et une banque locale (banque présentatrice, qui présente les documents à l'acheteur et recueille son règlement, avant de le transmettre à la banque remettante). Mais il est important de souligner qu'elles ne font qu'exécuter les ordres de leurs clients respectifs : le vendeur pour la banque remettante et l'acheteur pour la banque présentatrice. Ce mode de paiement n'apporte donc aucune garantie particulière au vendeur. Il n'est en conséquence utilisé qu'avec des clients habituels et sûrs.
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Le crédit documentaire

C'est la technique qui offre le plus de garanties au vendeur. Il est alors payé non par l'acheteur, mais par la banque de l'acheteur (dite banque émettrice, car c'est elle qui émet la proposition de crédit documentaire, à la demande de l'acheteur). Celle-ci se fera, bien sûr, à son tour payer par l'acheteur. Si le crédit documentaire est confirmé, on fera appel à une deuxième banque, dite banque notificatrice, qui paiera le vendeur après vérification des documents. Elle transmettra alors les documents à la banque émettrice qui la paiera après vérification des documents. Chacune des deux banques a donc intérêt à être très pointilleuse sur la vérification des documents puisqu'elle risque si elle les accepte sans réserves, de payer et de ne pas se faire rembourser. D'où l'importance particulièrement évidente dans ce cadre de la gestion de la chaîne documentaire.

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Les 13 Incoterms, notions.    top

Départ usine (EXW) Franco le long du navire (FAS)
Franco Transporteur (FCA) Franco à Bord (FOB)
Coût & Fret (CFR) Coût, Assurance & Fret (CIF)
Port payé jusqu'à (CPT) Port payé Assurance comprise jusqu'à (CIP)
Rendu Frontière (DAF) Rendu Ex-Ship (DES)
Rendu à Quai (DEQ) Rendu Droits non acquittés (DDU)
Délivré dédouané (DDP)

Quand les acteurs du commerce international entrent en négociation pour l'achat et la vente de marchandises, ils sont libres de choisir les termes spécifiques de leur contrat. Ces termes incluent le prix, la quantité, et les caractéristiques de la marchandise. Chaque contrat international contiendra aussi ce que l'on appelle "incoterm". L'incoterm, sélectionné déterminera les différentes responsabilités de paiement, chargement et déchargement de la marchandise, transfert de risque à tout moment lors d'une transaction internationale. Les incoterms influencent également la valeur de référence douanière de la marchandise importée.

Les incoterms sont gérés par la Chambre de Commerce International à Paris et sont utilisés par les nations majeures du commerce mondial. Il y a actuellement 13 Incoterms en usage qui sont décrits ci-dessous en ordre croissant de responsabilités du vendeur. Cependant, le Ex-Works (EXW), le Free on Board (FOB), le Cost Insurance Freight (CIF), et le Delivery Duty Paid (DDP) sont les incoterms utilisés essentiellement au sein des solutions NextLinx.

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Les 13 INCOTERMS

Groupe E (Départ)
 
Départ usine (EXW)
Le vendeur met la marchandise à disposition de l'acheteur dans les locaux mêmes du vendeur. L'acheteur est responsable pour tous les frais de transport, acquittement des droits de douanes et police d'assurance, et accepte les responsabilités de risques de perte une fois la marchandise achetée et placée aux portes de l'usine. Le prix " Ex-Works " n'inclut pas le prix du chargement de la marchandise dans un camion ou navire, et aucune allocation n'est faite pour le dédouanement. Si la valeur FOB représente la valeur douanière de référence de la marchandise dans le pays de destination, le coût du transport et de l'assurance depuis les locaux du vendeur jusqu'au port d'embarquement doivent être ajoutés à la valeur Ex-Work.

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Groupez F (Transport principal non acquitté)
Franco le long du navire (FAS)
Le vendeur est appelé à transporter la marchandise, la dédouaner à l'exportation et la remettre à un transporteur désigné par l'acheteur. Lorsque la marchandise est placée le long du navire dans le port d'exportation, " le transfert de risques " intervient entre le vendeur et l'acheteur. L'acheteur est responsable de l'embarquement de la marchandise sur le navire (sauf mention contraire) et d'honorer les frais de transport jusqu'à sa destination finale.

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Franco Transporteur (FCA)
Le vendeur dédouane la marchandise à l'exportation et la livre au transporteur et lieu spécifiés par l'acheteur. Si le lieu choisi n'est autre que l'entrepôt du vendeur, ce dernier doit charger la marchandise dans le véhicule de transport; et dans le cas contraire, l'acheteur supportera la responsabilité du chargement de la marchandise. L'acheteur assume le risque de perte à partir de cet instant, et doit prendre en charge les coûts de transport jusqu'à la destination finale.

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Franco à Bord (FOB)
Le vendeur (exportateur) est responsable de livrer la marchandise depuis son entreprise et de la charger à bord du navire au port d'exportation. Il est également responsable du dédouanement dans le pays d'exportation. Dès que la marchandise passe la" passerelle du navire " le " risque de perte " est transféré à l'acheteur (importateur). A partir de cet instant, l'acheteur doit assumer les coûts de transport et assurance, et doit également prendre en charge les formalités de dédouanement dans le pays d'importation. Une transaction FOB sera lu " FOB, port d'exportation ". Si l'on prend l'exemple d'une transaction pour laquelle le port d'exportation est Boston, la transaction sera lue " FOB, Boston." Si la valeur CIF est la valeur de référence pour l'acquittement des droits de douanes, la valeur du frêt international ainsi que la valeur de l'assurance doivent être ajoutés à la valeur FOB.

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Groupez C (Transport principal acquitté)
Coût & Frêt (CFR)
Le vendeur (exportateur) est responsable du dédouanement de la marchandise à l'exportation, de sa livraison à bord du navire, et du paiement du frêt international. L'acheteur assume le risque de perte une fois que la marchandise passe les passerelles du navire, et doit contracter une police d'assurance, décharger la marchandise, la dédouaner, et payer son transport jusqu'à sa destination finale. Si la valeur FOB est la valeur de référence pour l'acquittement des droits de douanes, le coût du frêt international doit être déduit de la valeur CFR.

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Coût, Assurance & Frêt (CIF)
Le vendeur (exportateur) est responsable de la livraison de la marchandise à bord du navire. Il est également responsable du dédouanement à l'exportation. De plus, il est responsable de produire une police d'assurance, au bénéfice de l'acheteur (importateur). Le transfert de risques a lieu au moment où la marchandise passe la passerelle du navire. Si la marchandise est endommagée ou volée pendant le transport international, c'est la responsabilité de l'acheteur de remplir une déclaration de perte ou de vol sur la base de la police d'assurance contractée par l'exportateur. L'importateur doit dédouaner la marchandise à l'importation et payer pour tout transport et assurance supplémentaire dans le pays d'importation. Le CIF peut être utilisé comme Incoterm uniquement quand le transport international des biens est au moins partiellement par voie d'eau. Si la valeur FOB est la valeur de référence pour l'acquittement des droits de douanes, l'assurance internationale et le coût du fret doivent être déduits de la valeur CIF. Une transaction CIF sera lue CIF, port de destination. Si l'on prend l'exemple d'une transaction pour laquelle le port d'exportation est Los Angeles, la transaction sera lue " CIF Los Angeles "

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Port payé jusqu'à (CPT)
Le vendeur (exportateur) dédouane la marchandise à l'exportation, la livre au porteur et est également responsable du coût du transport jusqu'à sa destination finale. Le Transfert de risques se produit une fois la marchandise transférée au porteur, et l'acheteur supportera les risques de perte et de vol à partir de cet instant. Si la valeur FOB est la valeur de référence pour l'acquittement des droits de douanes, le coût du frêt international doit être déduit de la valeur CPT.

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Port payé Assurance comprise jusqu'à (CIP)
Le vendeur transporte la marchandise au port d'exportation, la dédouane à l'exportation, et la livre à bord du navire. Une fois à bord, le transfert de risques intervient entre le vendeur et l'acheteur. Le vendeur est responsable du transport et du coût de l'assurance jusqu'à la destination finale. L'acheteur assume tous les coûts, et risques de perte. Si la valeur FOB est la valeur de référence pour l'acquittement des droits de douanes, le frêt international et le coût de l'assurance doivent être déduit de la valeur CIP.

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Groupez D (Arrivée)
Rendu Frontière (DAF)
Le vendeur (exportateur) est responsable de tous les coûts et risques liés à l'acheminement des marchandises jusqu'au pays de destination. Le Transfert de risques a lieu à la frontière. L'acheteur doit payer et assumer le risque de chargement des biens, du dédouanement, et du transport jusqu'à la destination finale. Si la valeur FOB est la valeur de référence pour l'acquittement des droits de douanes, l'assurance internationale et le coût du frêt doivent être déduits de la valeur DAF.

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Rendu Ex-Ship (DES)
Le vendeur (exportateur) est responsable des coûts impliqués dans la livraison de la marchandise au port de destination. Le transfert de propriété intervient à l'arrivée du navire au port de destination. Le vendeur est responsable du coût/risque de perte avant le déchargement au port de destination. L'acheteur (importateur) doit décharger la marchandise, la dédouaner et supporter les coûts du transport intérieur et de l'assurance jusqu'à la destination finale.

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Rendu à Quai (DEQ)
Le vendeur (exportateur) est responsable de tous les coûts impliqués dans le transport des biens au quai du port de destination. L'acheteur doit acquitter les droits de douanes, dédouaner la marchandise, et supporter le coût/risque de perte à ce moment là. Si la valeur FOB est la valeur de référence pour l'acquittement des droits de douanes, l'assurance internationale, le coût du frêt ainsi que le coût de déchargement doivent être déduits de la valeur DEQ.

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Rendu Droits non acquittés (DDU)
Le vendeur (exportateur) est responsable de tous les coûts impliqués dans la livraison de la marchandise à la destination convenue où cette dernière sera mise à la disposition de l'acheteur. Le transfert de risques intervient à cet instant entre l'acheteur et le vendeur. L'acheteur (importateur) doit dédouaner la marchandise, acquitter les droits de douanes et supporter le coût du transport intérieur et de l'assurance jusqu'à la destination finale.

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Délivré dédouané (DDP)
Le vendeur (exportateur) est responsable de tous les coûts concernant la livraison de la marchandise à la destination nommée et du dédouanement dans le pays d'importation. Sous l'Incoterm DDP, le vendeur fournit littéralement une livraison " porte à porte ", y compris dédouanement dans le port d'exportation mais aussi port de destination. Le transfert de risques se produit quand la marchandise est livrée à l'acheteur, habituellement à ses lieux. Le vendeur assume donc entièrement le risque de perte et ce jusqu'à livraison de la marchandise à sa destination finale. Une transaction DDP se lira "DDP lieu de destination ". Par exemple, si lors d'une transaction, les marchandises sont importées depuis Baltimore, livrées à Silver Spring, l'Incoterm se lira " DDP, Silver Spring ". Si la valeur CIF est la valeur de référence pour l'acquittement des droits de douanes, le coût du déchargement de la marchandise, son dédouanement, et la livraison à sa destination finale ainsi que l'assurance pour le transport terrestre, doivent être déduits pour obtenir une valeur CIF.

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04.06.2009 16:28:44



 

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